Le Stelvio en 24 heures chrono. (CR complet)

Vers 4h30, petit déjeuné chez Gamain.
Il m'épate, il a préparé l'itinéraire sur Maps, et imprimé sur A3 (pas sur l'Audi hein, mais sur papier)
Il a également acheté une carte d'Italie, tant mieux, j'ai oublié la mienne chez moi.
Quand je pense que la R1200RS a été livré avec un beau GPS...Mais on ne sait pas s'en servir.

Ce qu'on ne sait pas encore, c'est que les deux cartes dont on dispose ne sont pas assez détaillées, et les Suisses sont avares en panneaux. A Martigny, le Stelvio c'est pas indiqué.



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A 5H30, on est sur le départ.

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A Martigny, on est déjà paumés.

On a demandé notre route à une dame qui nous conseillait de passer par le centre ville.
-« On peut pas contourner ?
-si, mais faut passer par le centre ville
-Pourquoi ?
-Parce-que c'est joli »
Faut pas contrarier les Suisses, nous sommes passés par le centre ville.

Jusqu’à Sion, la route n'est pas terrible, se sont de grandes lignes droites monotones.

A Brig on était paumés. Je dois préciser que ce jour là, on a plus usé la carte Michelin que les pneus.

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Prévention Suisse.

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A partir de Brig, la route commence à être viroleuse.

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Pas de risque de radars pour lui.

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On ne savait pas qu'a partir de Brig, on n'allait plus voir de lignes droites pendant des kilomètres et des kilomètres.

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On s'est arrêtés je ne sais pas où, pour demander à des motards si c'était bien la route de Davos.
Gamin m'épate, il a communiqué en Italien avec des motards Allemands.

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On s'est cognés un premier col à plus de 2000 m. C'est un truc qu'on avait pas pris en compte les cols. Je n'ai jamais passé autant de cols à plus de 2000 dans la même journée.
Celui là, je sais plus son nom.

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Ah si ! c'est celui là.
Donc, arrivé en haut de l'Oberalpass, Michel m'annonce la mauvaise nouvelle : Il s'est démonté le bas du dos en se retournant sur la moto
A chaque mouvement, chaque imperfection de la route, il a comme des aiguilles qu'on lui plante dans le bas du dos.
Il ne veut pas que l'on fasse demi tour.

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Pour être sûr, je demande à deux motards si on est bien sur la route de Davos...
Bordel ! Les mecs ils savent qu'on vient, et ils n'apprennent même pas deux mots en Français pour nous indiquer notre route.

Michel me dit : A midi, on mange les saucisses au Stelvio. Parait-il que la tradition veut ça, quand on arrive au sommet du Stelvio, faut manger les saucisses du Stelvio.

C'est précisément ici que l'on a appris que l'on était dans la bonne direction, et que Davos était à 200 Km.
Là, il y a eu comme un blanc, genre fenêtre Windows avec le sablier qui tourne. En fait, c'est le cerveau qui met à jour les données obsolètes du style :
« A midi on mange les saucisses au Stelvio. »
Cette donnée est remplacée par :
- « A midi peut-être que l'on mangera des saucisses, mais pas au Stelvio »

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Presque arrivé à Chur, un salopard à repeint les panneaux d'autoroute en vert rien que pour me faire chier.  
J'avais déjà fait trois ou quatre cent mètres sur la bretelle d'accès quand Michel m'arrête. On a pas de vignette.
On décide de reculer, mais au bout de deux mètre on en a marre : On enquille la première et on fait demi tour.
A ce moment là, j'ai constaté trois choses :

• Faire aller une moto en marche avant c'est moins fatiguant qu'en marche arrière.
  
• Les voitures suisses sont également équipées d'appel de phare et de klaxons.
  
• Les Suisses peuvent aussi se fâcher....voire dire des gros mots aussi.
  
  

A Chur il y avait un motard à la station d'essence. On lui demande la route de Davos. Ça baragouine entre lui est Michel, et apparemment ils ne se comprennent pas.
Je dis à Michel d'essayer en Italien, et le gars nous dit :
- « Ah ! Vous êtes Français ? »
Et il nous explique la route.
Je suis quand même furieux : Le mec il sait qu'on vient, il apprend deux trois mot en français, il nous attend à la station, et il ne se signale même pas. Tout ce temps que l'on aurait gagné s'il s'était mis une pancarte sur le ventre « accueil Aindien et Gamain » comme dans les aéroports.
On a fait le plein à Chur. Vingt francs pour faire le plein d'essence c'est pas cher, j'aurais dû amener un jerrican.
On s'est quand même perdu dans Fur, parce-que le temps de faire le plein, on a oublié le nom de la direction à suivre.
On a demandé à deux policiers qui nous ont dit d'aller tout droit par le centre ville. On comprenait rien à ce qu'ils nous disaient, mais on y est allés.
Dans le centre, on a redemandé à des motards attablés à une terrasse. On a rien comprit à ce qu'ils racontaient, mais eux nous faisaient repartir dans l'autre sens.
On est repassés devant les deux policiers...J'avais honte, j'ai fait comme si je ne les voyais pas.
On a redemandé à un passant. On a comprit que l'on était dans la bonne direction si on voulait passer par l'autoroute. Pour la nationale, il faut faire demi tour et passer par le centre ville.
On est repassés devant les deux policiers...J'avais honte, j'ai fait comme si je ne les voyais pas.
On est repassés devant les motards attablés à la terrasse, ils nous ont regardé, j'avais honte.

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Finalement, on est arrivés à Davos.
J'ai suivi Gamain en toute confiance, il avait l'air de savoir où il allait...Ben non, il savait pas.
On a enquillé une route vraiment tordue et étroite pendant au moins 25 bornes.
Arrivé à un carrefour (pas un magasins, mais un croisement de routes) Michel me dit qu'il semble s'être trompé de direction dans Davos.
On sort la carte, et des cycliste arrivent. C'est des Allemands, mais parmi eux il y a une nana qui parle un peu l'Italien. C'est Gamain qui s'y colle. Il m'épate Gamain.
Elle nous indique un raccourci, lequel passe par l'Albullapass...qui sera pour moi le plus beau col de la journée.

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Et on s'est retapés à nouveau un col à plus de 2000, mais sans regrets, c'est vraiment un beau col qui sort des sentiers battus.

En haut de l'Albulapass.
Comme vous allez le constater, Gamain sait quelle direction suivre, et ce n'est pas son dos qui va l'arrêter.


Toujours en haut de l'Albulapass.



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Il y a deux types qui sont passés en mode course de côte. Les mecs, ils profitent qu'on n'est pas en selle pour nous enfumer.
Puis je me suis dit qu'ils étaient cons de rouler si vite, parce que plus on roule vite, plus on se perd vite et loin. En plus, ils ne savent même pas où est la nana en vélo, qui parle Italien et qui connaît des raccourcis.
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Arrivé en bas du col, rien pour nous emmerder, ils ont mis un croisement avec plusieurs directions. on sort la carte.
On se rend compte aussi qu'il est 15 heure et que l'on a pas prit de repas. Le prochain bled, on fait une pause pizza.
Sur cette route une bagnole s'est intercalée entre Michel est moi, le mec me pousse au cul. On s'arrête a un feu (des travaux) Michel se met à ma hauteur :
-"T'as vu ? le mec te pousse.
-Oui, on va lui faire sa fête.
On a mis gaz à fond sur cette route faite toute en enfilades. J'y ai laissé le rétro droit. Dans une corde un peu trop serrée, j'ai percuté une balise en plastoc. Mais c'est pas grave, on lui a montré à ce cave qui étaient les tenanciers de la gargote.
On s'est arrêtés dans un bled pour faire une pause restau.
Michel se met à étudier les cartes, moi je sirote ma bière.
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Le choc de ma vie
Au moment où on part, des motards Allemands lèvent également le camps. Je leur demande la route du Stelvio. Parmi eux une nana parle le français.
Elle me dit qu'au prochain croisement il faut prendre à droite direction Santa Maria. Etc
Je lui demande si elle est Française, et elle me répond que non, elle est Suisse Romande.
. Non de dieu !   A 55 ans je découvre que je suis bilingue : Je parle et comprend aisément le suisse-roman, et personne me l'a dit.
De la secousse, je vais voir Michel et je vais lui dire un truc en suisse roman pour lui faire voir que moi aussi je suis bilingue.
Il a tout comprit ce que je lui ai dit.... Il m'épate Gamain.

Bon, forcément, au premier carrefour, il y avait pas indiqué Santa Maria, mais on a prit à droite quand même, et on a à nouveau enquillé un col à plus de 2000.

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Alléluia ! Arrivé à Santa Maria, enfin un panneau qui indique le Stelvio, via l'Umbrail.
Allez, encore un p'tit col à plus de 2000.
Haut de L'Umbrail.
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Et enfin le Stelvio.
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La route qu'on a loupé.
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La tradition : Les fameuses saucisses du Stelvio. On y a pas échappés.

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On l'a prise avec du pain traditionnel et du chou. Il nous fallait une réserve de gaz pour rentrer.
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 Il s'agit maintenant de renter, il est 17 heure, et je dois récupérer mes enfants à 21 heure chez ma sœur.
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 On entame la descente sur Bormio.

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Qu'est-ce qu'on est bien en Italie. Gamain est sur ses terres natales, et moi je retrouve les routes que j'ai sillonné quand je faisais les transports internationaux.
Tout ces gens qui grillent les feux, qui doublent sur les lignes blanches, qui roulent gaz à fond, je me sens chez moi aussi. Les carabiniers avec leurs pantalons aux liserets fuchsias, leurs bottes lacées à l'arrière et leur petit sémaphore à la main pour vous faire signe de vous arrêter...c'est tout l'Italie ça.
On décide de rentrer par Milan. Cherchez pas, à Bormio il n'y a qu'un panneau pour indiquer Milan, après démerdez-vous...Bon, nous c'est ce qu'on fait depuis le début.
Ce qu'il y a de bien en Italie, c'est que l'on peut s'arrêter sur le bord de l'autoroute pour prendre des photos.

Ici, le lac de Come.
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Vous n'imaginez pas le bonheur que l'on a eu de prendre l'autoroute après quasi 700 bornes de virages et de cols. Je n'ai jamais passé autant de fois les vitesses, je n'en pouvais plus. Malgré le renfort de sélecteur sur la botte, j'avais l'orteil gauche en feu chaque fois que je montais les vitesses.

A 21 heure à Milan, on s'est paumé, j'ai loupé la direction de Turin, on s'est retrouvé au centre. j'en ai profité pour téléphoner à ma sœur  pour l'avertir que j'aurai un léger retard.
A Turin, on a fait une pause casse croute. Michel souffrait sa douleur.
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Lors d'un arrêt dans la monté du Fréjus :
-"Gamain, tu aurais dû sortir à Susa pour prendre le col du Mt Cenis.
-Non non, plus haut il y a une route pour le rejoindre"
Je connais bien cette route, l'été, on la prenait avec des camions de 40 tonnes pour éviter de payer le tunnel. Mais je dis rien, c'est Gamain qui est Italien, pas moi.
Du coup, à 1 heure du matin, devant l'entré du tunnel du Fréjus, je ne dis rien, je laisse faire.
Gamain sort à Bardonecchia, il a l'air d'être sûr de son coup. Je le laisse tourner en rond dans le bled, et au bout d'un moment, il s'arrête et me dit :
-"Je crois que t'avais raison, je me suis trompé."
Du coup on ressort la carte. En arrière plan on voit bien le GPS nous dire : -"Hep, je la connais la route"
Demi tour, direction Turin, sortie Susa.
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A 1h20 du matin on entame la monté du Mt Cenis, dernier cols à plus de 2000 de la journée.
On le bascule à 1 h45, dans un brouillard à couper au couteau, et une t° de 5°
Petit repos dans un abris bus à Lanslebourg.
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On a roupillé un petite demi heure sur l'autoroute de Modane, et on a reprit la route.
A 4h45 je me plonge dans mon lit. Je m'accorde 3 ou 4 heures de repos, on a du béton à couler.
On avait de la main d’œuvre.
Michel s'est absenté un moment pour se faire redresser le dos.
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La journée s'est fini avec un Kebab et de la bière.

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Bilan : 1330 Kms et 23h10 mn de voyage.

C'est tout putaing achètes toi un para tonnerre, vite la suite

Elle a l'air jolie la cycliste 

T'as pris son portable ? 

Il faut bien reconnaître une chose : Quand tu as fait ton itinéraire sur un GPS, le compte-rendu est nettement moins savoureux   Enfin, généralement...

Il est également vrai que des cartes au 250.000 ème c'est le minimum pour trouver son chemin sur autre chose que des autoroutes ou des voies rapides  

Vous faites vraiment une belle paire de fondus, et je ne parle pas de fromage  

Vivement la suite (nuptiale) pour plagier un célèbre membre (du forum)...

Aindien a écrit:
Finalement, on est arrivés à Davos.
J'ai suivi Gamain en toute confiance, il avait l'air de savoir où il allait...Ben non, il savait pas.
On a enquillé une route vraiment tordue et étroite pendant au moins 25 bornes.
Arrivé à un carrefour (pas un magasins, mais un croisement de routes) Michel me dit qu'il semble s'être trompé de direction dans Davos.
On sort la carte, et des cycliste arrivent. C'est des Allemands, mais parmi eux il y a une nana qui parle un peu l'Italien. C'est Gamain qui s'y colle. Il m'épate Gamain.
Elle nous indique un raccourci, lequel passe par l'Albullapass...qui sera pour moi le plus beau col de la journée.

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Et on s'est retapé à nouveau un col à plus de 2000, mais sans regrets, c'est vraiment un beau col qui sort des sentiers battus.

Tu as pécho??

J'attends la suite 

Ouaip, le Gamain il va falloir qu'il se penche sur le Navigator V parce que c'est quand même un super outil et même si ça t'empêche pas toujours de te perdre, tu perds quand même moins de temps

Le choc de ma vie
Au moment où on part, des motards Allemands lèvent également le camps. Je leur demande la route du Stelvio. Parmi eux une nana parle le français.
Elle me dit qu'au prochain croisement il faut prendre à droite direction Santa Maria. Etc
Je lui demande si elle est Francaise, et elle me répond que non, elle est Suisse Romande.
. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Non de dieu !   A 55 ans je découvre que je suis bilingue : Je parle et comprend aisément le suisse-roman, et personne me l'a dit.
De la secousse, je vais voir Michel, je vais lui dire un truc en suisse roman pour lui faire voir que moi aussi je suis bilingue.
Il a tout comprit ce que je lui ai dit.... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Il m'épate Gamain.

Alors Hervé tu lui as pas demandé si elle avait une soeur ?  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le JoeBar Team fait le  Stelvio, en live et en direct!
Je kiffe, je me régale!
C'est un bonheur de te lire et vous faites une belle paire de vaillants, respect!

Pour l'organisation et la prévision, ça aurait été dommage de faire mieux... les découvertes des grands cols et la jolie cycliste auraient manqués au tableau, non?

... et puis vous m'avez donnée envie d'aller manger une saucisse au Stelvio un de ces quatre; il faut juste que je trouve une dalle de béton à couler le lendemain...

Bravo et merci pour le CR , vivement la prochaine

V

bon ben là 
fallait oser...vous avez oser....et vous l'avez fait
et en plus le CR    et 

deux furieux illuminés en plus que vous êtes...

alain

Et en plus, vous avez eu le temps de prendre des photos

PelosEt en plus, vous avez eu le temps de prendre des photos

... et même de faire la mise au point !

V

Pec a écrit:

PelosEt en plus, vous avez eu le temps de prendre des photos

... et même de faire la mise au point !

V

C'est AUTOMATIQUE maintenant

Pelos a écrit:

Pec a écrit:

PelosEt en plus, vous avez eu le temps de prendre des photos

... et même de faire la mise au point !

V

C'est AUTOMATIQUE maintenant

Pas pour toi mon Pelos....du moins d'après tes dernières épreuves 

alain

Eh ben quelle aventure, bravo pour ce court mais intense moment de folie, et en plus elle à l'air plutôt pas mal la chape !

Quelle expédition! Merci pour ce super CR très bien illustré, je me suis bien marré 

Aindien a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Excellent compte rendu. Merci pour les images
A gauche, c'est le glacier et les sources du Rhône, et la route continue  ensuite vers le FurkaPass.

  Excellent Hervé !  tu m'as donné envie d'aller manger une saucisse au stelvio mais au moins en deux jours et sans dalle à couler le lendemain  jour même! 

Bravo à vous les deux féllés ! 

C'est fabuleux ce qu'on peut faire avec Toshop, pour faire croire que l'on a roulé comme des givrés. 

Là, comment dire... les mots me manquent, j’en chialerai presque. QUELLE CLAQUE ce CR ! 

Chapeau les gars ! !!!!!et je suis content pour vous que le Stelvio était ouvert !

Non seulement ils l'ont fait ces deux gentils fondus mais en plus ils n'avaient même pas préparé le trajet ou si peu D'accord,ça vous a permis de blaguer avec une belle cycliste mais vous avez bien perdu trois heures au moins dans vos errances et allers et retours divers.
Comme l'ai suggéré Sergem un apprentissage de l'usage du GPS serait un plus pour la prochaine fois
Sinon juste à vous dire chapeau les gars Je n'aurais plus votre courage....

Franck

+ 1 !   

on en re-veut ... ...   

ça fait plaisir de voir deux félés comme vous !

de bons souvenirs à raconter aux enfants de vos petits-enfants dans ... xx ans !

la vie est une fête,

bravo les gars ! un super bon niveau de taré-itude !

Un peu fondus, un peu masos hein Michel, mais jolies images et belle lecture.

T'es déjà allé au Grossglockner ??

J'savais que vous êtiez des grands malades vous deux... mais j'savais pas à quel point ! 

Un régal de te lire l'Aindien
Un autre régal de se perdre dans l'immensité majestueuse de tes photos
Et un autre régal les saucisses du stelvio



vivement la suite.. prends ton temps c'est encore meilleur 

Excellent.

Accessoirement, vous êtes passés par des endroits magnifiques.

Flat-win a écrit:Un peu fondus, un peu masos hein Michel, mais jolies images et belle lecture.

T'es déjà allé au Grossglockner ??  

Jouable. Faut juste que je ressorte le piolet et les crampons et refaire quelque sortie en haute montagne histoire de réapprendre à vomir et à grimper avec le mal de tronche.
Par la voie normal, il n'a pas l'air plus dur que le Mt Blanc puisque classé 2 dans la cotation UIAA.
Mais c'est jouable...j'y réfléchis, mais pas pour cette année, c'est un truc qu'il faut vraiment préparer physiquement. j'aime bien les défis. Bonne idée Bruno.
J'en parle à Gamain, il va dire oui.

Le Grossglockner l'Aindien,c'est juste une belle route payante (très chère ) à ta portée sans autre préparation physique qu'une bonne bière à l'arrivée

Franck

capdefra a écrit:Le Grossglockner l'Aindien,c'est juste une belle route payante (très chère ) à ta portée sans autre préparation physique qu'une bonne bière à l'arrivée

Franck

C'est nettement moins drôle par la route.

Sacré périple, et Gamin a été courageux avec son mal de dos . Moralité à chaque fois on perd du temps pour préparer, et finalement cela ne sert pratiquement à rien. On s'adapte et tout se passe bien, pour les épisodes déliquats, cela fait les anecdotes.  

PS : pour faire de la route aussi longtemps c'est Virenque, Amtrong ou Froome qui vous a conseillé?

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Météo Alpes hier 
Exemple de ces jours automnaux qui nous attendent jusqu'à Mercredi, de fortes chutes de neige de sont produites ce matin côté Italie, ici au Stelvio à 2757m d'altitude.
Demain il neigera à cette altitude côté français des Alpes du Nord.

Image : capture webcam.

Bravo

Syssy a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Météo Alpes hier 
Exemple de ces jours automnaux qui nous attendent jusqu'à Mercredi, de fortes chutes de neige de sont produites ce matin côté Italie, ici au Stelvio à 2757m d'altitude.
Demain il neigera à cette altitude côté français des Alpes du Nord.

Image : capture webcam.

Merci Yanet 

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Aindien a écrit:

capdefra a écrit:Le Grossglockner l'Aindien,c'est juste une belle route payante (très chère ) à ta portée sans autre préparation physique qu'une bonne bière à l'arrivée

Franck

C'est nettement moins drôle par la route.

Une fois que t'es au Stelvio, c'est rien. Allez, 300 - 350 bornes pour y arriver. Vers l'Est bien sur

Ca laisse de quoi se paumer

Super sympa comme trip...le genre de sortie à la journée à faire avec ma vieille RT !

Respect pour ce beau périple et merci pour le partage !

Tintin a écrit:

Syssy a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Météo Alpes hier 
Exemple de ces jours automnaux qui nous attendent jusqu'à Mercredi, de fortes chutes de neige de sont produites ce matin côté Italie, ici au Stelvio à 2757m d'altitude.
Demain il neigera à cette altitude côté français des Alpes du Nord.

Image : capture webcam.

Merci Yanet 

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tu as raison Tintin, le météo est bien meilleure en Espagne qu'au Stelvio...

Par contre il semble qu'il y ai un souci de fermeture Eclair, Lumix tu peux faire quelque chose ???

 ...   ... p'tain en plus vous avez mis des handicaps    Vous êtes des bons de chez bons     un bonheur à lire ce CR 

Tintin a écrit:Elle a l'air jolie la cycliste 

T'as pris son portable ? 

Non, pas besoin, j'avais le mien.