Les livres que vous aimez...

Tu prépares une ripaille aéronautique de ce côté là André ??

@ Vincent, j'avais parcouru les pages précédentes pour vérifier si tu n'avais pas déjà parlé de ce livre ?

Le dernier livre que j’ai lu m’a vraiment touché : « les abailles grises » de Andreï Kourkov.


En résumé, deux ennemis d’école se retrouvent à habiter isolés dans la zone grise, coincés entre l’armée Ukrenienne et les Séparatistes Pro russes. Sur fond de mitraille, ils doivent coopérer ensemble pour survivre et pour pour l’un d’eux, apiculteur, garantir le bien être et la survie de ses petites ouvrières mielliféres. La percévérence de l’apiculteur est remarquable.
Ce livre effleure la guerre en Ukrainien avec pudeur, humanité sans jugement, pas d’horreur juste de l’émotion.

André: "On y va quand ? "

On y va dès qu'il fait chaud, comme on va faire le tour des châteaux en Ardèche, comme on va remonter la Saône, comme on retourne dans le Livradois Forez et les Combrailles, comme on refait la Route Napoléon avec incursion Italienne, comme on va explorer le Beaujolais Nord et le Morvan en passant par Digoin, etc  etc etc...
Pour le moment, c'est le froid jusqu'en Février 

V qui va aller se mettre au chaud dans les Halles Paul Bocuse pour ce matin

Pec a écrit:André: "On y va quand ? "

On y va dès qu'il fait chaud, comme on va faire le tour des châteaux en Ardèche, comme on va remonter la Saône, comme on retourne dans le Livradois Forez et les Combrailles, comme on refait la Route Napoléon avec incursion Italienne, comme on va explorer le Beaujolais Nord et le Morvan en passant par Digoin, etc  etc etc...
Pour le moment, c'est le froid jusqu'en Février 

V qui va aller se mettre au chaud dans les Halles Paul Bocuse pour ce matin

Purée, vivement la super retraite qu'on ait le temps de faire tout çà, passke avec la retraite simple, on aura jamais assez de temps

Est ce la fièvre qui est à l'oeuvre chez Vincent ? ...ce post eut été juste dans le topic "nos sorties" mais pas vraiment ici ....comment a t'il pu sombrer aussi rapidement ? Y'a plus qu' espérer que les bons remèdes des Halles fassent effet


Quant à André, tu peux toujours essayer d'organiser une contre manif en ce sens 

Citoyens, Citoyennes, il y a exactement 230 ans jour pour jour, la France commettait son premier et dernier Régicide. C'est en effet, le 21 janvier 1793, que Louis XVI fut guillotiné, à Paris  place de la Concorde, qui n'a jamais si mal porté son nom...Elle s'appelait place de la Révolution à l'époque. Alors oui, me direz vous, il y a contradiction dans mes propos, je l'assume  le modeste citoyen que je suis, si redevable à nos ainés qui se sont battu et sacrifié pour une justice humaine et sociale, pense que ce brave Louis XVI ne méritait pas ce châtiment, ni Marie Antoinette, au sujet de laquelle, les critiques faites à l'époque, nous font honte aujourd'hui, avec le prisme de notre XXI ème siècle.

Le 3 décembre 1792, c'est Maximilien Robespierre qui réclama la condamnation à mort de Louis XVI.
"L'incorruptible" tel était le surnom de Robespierre, l'homme de droit, ne buvant pas, ne fumant pas, mangeant peu, évitant les tumultes des tavernes, entrera à la convention en mai 1793, en prononçant un discours mémorable :
-"Jamais les maux de la société ne viennent du peuple, mais du gouvernement. Comment n'en serait-il pas ainsi ! l'intérêt du peuple, c'est le bien public; l'intérêt de l'homme en place est un intérêt privé. Pour être bon, le peuple n'a besoin que de se préférer lui-même à ce qui n'est pas lui ; pour être bon, il faut que le magistrat s'immole lui-même au peuple......./....que les passions de l'homme puissant tendent à s'élever au-dessus des lois justes, ou à en créer de tyranniques: je dirais enfin que la misère des citoyens n'est autre chose que le crime des gouvernements. Mais j'établis la base de mon système par un seul raisonnement......../....« si dans la République, la justice ne règne pas avec un empire absolu, la liberté n'est qu'un vain mot »"


en juillet 1793, le même Robespierre instituera la "Terreur" qui fera 17000 éxécutions en 6 mois !
- "Cette ogresse (la révolution) dévorera tous ses enfants.." de fait, son exécution le 27 juillet 1794, marquera la fin de la Révolution Française

Si l'histoire, n'a retenu de Robespierre que le monstre sanguinaire, dans son livre Jean Clément Martin tente de montrer les autres aspects du personnage, arrivé (malgré lui) au coeur d'une situation dont la vitesse, la violence et la gravité avaient dépassé tous les acteurs.

Ecrit en 1972 je pensais vraiment, quand je l'ai lu à l'époque, ne jamais connaitre la chute du roman de John Brunner, "Le troupeau aveugle"...


Dernier paragraphe du tome2 :

LA FUMEE DU GRAND ICENDIE
"Ouvrant la porte au médecin, prête à s'excuser d'avoir les mains enfarinées - elle était en train de faire du pain - Mrs Byrne fronça les narines. De la fumée ! Et si elle le sentait avec le rhume de cerveau qu'elle avait il fallait que ce soit un gigantesque  incendie !
- Il faudrait prévenir les pompiers ! s'exclama-t-elle.
Est-ce que c'est une meule de foin ?
- Les pompiers auraient du chemin à faire, lui dit le médecin gravement. Ca vient de l'autre coté de l'Atlantique. Le vent souffle fort, aujourd'hui."

...J'avais tort.  
Article du 26 juin 2023 : Les fumées des incendies du Canada arrivent en Europe

Je vois la rubrique et j'y pense.

J'ai lu le Goncourt 2022 - Vivre vite - et ça parle de mob. Une femme qui évoque son compagnon parti trop vite et bêtement au guidon d'une CBR 900. On s'y retrouve et quelques évocations propres à la passion sont bien présentes, le plaisir de démarrer et de laisser chauffer doucement entre autres. 

C'est plutôt bien écrit et assez ramassé, environ 200 pages. Sans prétention littéraire c'est un style assez abordable et ça ne tombe pas des mains. Je recommande.

.. lecture sympa pendant les vacances

Résumé :

Juin 2018, baie de Sausalito, Californie. Sur le chantier d'un quartier de riches maisons flottantes, Nicholas Dennac, ex-journaliste d'investigation devenu charpentier, découvre une mare de sang. Il n'en faut pas plus pour réveiller son instinct.

Dennac va remonter un à un les affluents d'un ruisseau sanglant dont les méandres traversent un vaste scandale industriel lié à l'exploitation d'huile de schiste, le business du siècle dans cette région. Un sang qui poisse et se faufile entre les derricks qui poussent comme des champignons dans une Californie rurale sacrifiée aux plus offrants. Une navigation dangereuse pour Dennac qui le mènera peut-être jusqu'à la source du mal : la Reine des Putes.

Un roman aussi noir et serré qu'un espresso italien, signé Frédéric Andrei, l'auteur de Riches à en mourir et de Bad Land.

Echoes a écrit:.. lecture sympa pendant les vacances

Résumé :

Juin 2018, baie de Sausalito, Californie. Sur le chantier d'un quartier de riches maisons flottantes, Nicholas Dennac, ex-journaliste d'investigation devenu charpentier, découvre une mare de sang. Il n'en faut pas plus pour réveiller son instinct.

Dennac va remonter un à un les affluents d'un ruisseau sanglant dont les méandres traversent un vaste scandale industriel lié à l'exploitation d'huile de schiste, le business du siècle dans cette région. Un sang qui poisse et se faufile entre les derricks qui poussent comme des champignons dans une Californie rurale sacrifiée aux plus offrants. Une navigation dangereuse pour Dennac qui le mènera peut-être jusqu'à la source du mal : la Reine des Putes.

Un roman aussi noir et serré qu'un espresso italien, signé Frédéric Andrei, l'auteur de Riches à en mourir et de Bad Land.

Il est pas trop gros ce livre ? que je le glisse dans mon sac le mois prochain pour mes longues heures de vol

Laurence a écrit:

Echoes a écrit:.. lecture sympa pendant les vacances

Résumé :

Juin 2018, baie de Sausalito, Californie. Sur le chantier d'un quartier de riches maisons flottantes, Nicholas Dennac, ex-journaliste d'investigation devenu charpentier, découvre une mare de sang. Il n'en faut pas plus pour réveiller son instinct.

Dennac va remonter un à un les affluents d'un ruisseau sanglant dont les méandres traversent un vaste scandale industriel lié à l'exploitation d'huile de schiste, le business du siècle dans cette région. Un sang qui poisse et se faufile entre les derricks qui poussent comme des champignons dans une Californie rurale sacrifiée aux plus offrants. Une navigation dangereuse pour Dennac qui le mènera peut-être jusqu'à la source du mal : la Reine des Putes.

Un roman aussi noir et serré qu'un espresso italien, signé Frédéric Andrei, l'auteur de Riches à en mourir et de Bad Land.

Il est pas trop gros ce livre ? que je le glisse dans mon sac le mois prochain pour mes longues heures de vol

 Format livre de poche et pas trop gros non !!

Evadez vous avec les voyages d'endymion. 

En passant petit clin d’œil aux gones (Pec en particulier). Les galeries souterraines "Arêtes de Poisson" existent-elles bien à Lyon ? Déjà visité ? Je dirais que c'est une idée, hein Pec ?

Ce livre est fascinant par la qualité des recherches et données scientifiques. Il a été écrit avant Covid.

Mélange de délire, de factuel et véridique... j'ai beaucoup aimé.



Résumé : "Le pire danger pour l'espèce humaine ? L'ALIENation...
Mai 2022. À 400 kilomètres de la terre, la station spatiale internationale sombre dans la nuit artificielle. Tandis que l'équipage dort, le cadavre éventré d'un astronaute américain flotte en impesanteur dans l'un des modules de recherche. Le même jour, à Lyon, le corps éviscéré d'un biologiste américain est retrouvé à 30 mètres de profondeur, dans un mystérieux réseau de galeries souterraines baptisé les "arêtes de poisson".
S'engage une double enquête, d'abord internationale avec la NASA, aux États-Unis, pour tenter d'élucider un meurtre inédit dans l'histoire : celui d'un astronaute dans l'espace. À Lyon, Louise Vernay, commandant de la brigade criminelle, fait rapidement le rapprochement entre les deux assassinats, très semblables et synchrones, l'un dans l'espace, l'autre sous terre… Qu'est-ce qui les relie ? Pour quelle raison ces deux Américains ont-ils été visés ? Comment ont-ils pu être éliminés au même moment, à une telle distance ?
Louise fait rapidement la rencontre d'un étonnant moine jésuite, astrophysicien et directeur de l'observatoire du Vatican, de passage à Lyon et qui avait rendez-vous avec la victime. Ce personnage troublant lui laisse entendre que des signes d'une présence extraterrestre se multiplient, et qu'ils pourraient bien être à l'origine de ces deux meurtres…"

Dans les auteurs contemporains, il y a les incontournables Sorj Chalandon, Paul Auster et Laurent Gaudé dont j'ai pris plaisir à relire le magnifique roman Prix Goncourt 2004

Résumé : "Lorsque commence le récit, Luciano Mascalzone, un traîne-savate vivant de petites rapines, revient après quinze années de prison à Montepuccio, un village des Pouilles aux façades sales où les heures passent dans une fournaise qui abolit les couleurs. Autour, ce ne sont que collines et mer enchevêtrées. « Il m'a fallu du temps mais je reviens. Je suis là. Vous ne le savez pas encore puisque vous dormez. Je longe la façade de vos maisons. Je passe sous vos fenêtres. Vous ne vous doutez de rien. Je suis là et je viens chercher mon dû. » Son dû, c'est Filomena Biscotti, une femme qu'il désire depuis qu'il l'a rencontrée et dont le souvenir n'a cessé de le hanter. Ce que Luciano ignore, c'est que celle qui lui ouvre sa porte et qui se laisse dépuceler est la sœur cadette de celle qu'il convoitait, Immacolata. Battu à mort par les villageois, il meurt dans le dégoût du monde. Immacolata donne naissance à un fils. C'est ainsi que naît la lignée des Mascalzone, qui portera le nom de Scorta : d'une erreur, d'un malentendu. « D'un homme qui s'était trompé. Et d'une femme qui avait consenti à ce mensonge parce que le désir lui faisait claquer les genoux. »
Avec une imagination qui semble avoir atteint son apogée, inondée de fraîcheur et poussée par la musicalité d'un style irréprochable, Laurent Gaudé raconte l'existence des Scorta de 1870 à nos jours. Chronique d'une famille qui vivra certes pauvrement, mais dans l'éternel désir « de manger le ciel et de boire les étoiles », Le Soleil des Scorta est une fresque vivante et volcanique."

Echoes a écrit:En passant petit clin d’œil aux gones (Pec en particulier). Les galeries souterraines "Arêtes de Poisson" existent-elles bien à Lyon ? Déjà visité ? Je dirais que c'est une idée, hein Pec ?

Ce livre est fascinant par la qualité des recherches et données scientifiques. Il a été écrit avant Covid.

Mélange de délire, de factuel et véridique... j'ai beaucoup aimé.



Résumé : "Le pire danger pour l'espèce humaine ? L'ALIENation...
Mai 2022. À 400 kilomètres de la terre, la station spatiale internationale sombre dans la nuit artificielle. Tandis que l'équipage dort, le cadavre éventré d'un astronaute américain flotte en impesanteur dans l'un des modules de recherche. Le même jour, à Lyon, le corps éviscéré d'un biologiste américain est retrouvé à 30 mètres de profondeur, dans un mystérieux réseau de galeries souterraines baptisé les "arêtes de poisson".
S'engage une double enquête, d'abord internationale avec la NASA, aux États-Unis, pour tenter d'élucider un meurtre inédit dans l'histoire : celui d'un astronaute dans l'espace. À Lyon, Louise Vernay, commandant de la brigade criminelle, fait rapidement le rapprochement entre les deux assassinats, très semblables et synchrones, l'un dans l'espace, l'autre sous terre… Qu'est-ce qui les relie ? Pour quelle raison ces deux Américains ont-ils été visés ? Comment ont-ils pu être éliminés au même moment, à une telle distance ?
Louise fait rapidement la rencontre d'un étonnant moine jésuite, astrophysicien et directeur de l'observatoire du Vatican, de passage à Lyon et qui avait rendez-vous avec la victime. Ce personnage troublant lui laisse entendre que des signes d'une présence extraterrestre se multiplient, et qu'ils pourraient bien être à l'origine de ces deux meurtres…"

Ma chère Pascale,
je te remercie pour ton clin d’œil, et le souvenir de tes passages chez les Gones, qui t'ont laissé des souvenirs d'initiée
Je dois préciser qu' il n'y aucun doute sur l'existence des "Arêtes de poisson". Elles sont avérées, documentées, photographiées, mesurées, analysées... Et pourtant, le mystère reste entier sur la destination plus grand ouvrage souterrain humain connu au monde 
Cependant, des bribes de connaissances ont émergé ces dernier temps. Enfin, des amis ont pu y pénétrer légalement tout récemment, et je ne désespère pas d'y parvenir aussi, maintenant que je sais à qui m'adresser   
Bon, maintenant, parlons bouquins...

V 

Echoes a écrit:En passant petit clin d’œil aux gones (Pec en particulier). Les galeries souterraines "Arêtes de Poisson" existent-elles bien à Lyon ? Déjà visité ? Je dirais que c'est une idée, hein Pec ?

Ce livre est fascinant par la qualité des recherches et données scientifiques. Il a été écrit avant Covid.

Mélange de délire, de factuel et véridique... j'ai beaucoup aimé.



Résumé : "Le pire danger pour l'espèce humaine ? L'ALIENation...
Mai 2022. À 400 kilomètres de la terre, la station spatiale internationale sombre dans la nuit artificielle. Tandis que l'équipage dort, le cadavre éventré d'un astronaute américain flotte en impesanteur dans l'un des modules de recherche. Le même jour, à Lyon, le corps éviscéré d'un biologiste américain est retrouvé à 30 mètres de profondeur, dans un mystérieux réseau de galeries souterraines baptisé les "arêtes de poisson".
S'engage une double enquête, d'abord internationale avec la NASA, aux États-Unis, pour tenter d'élucider un meurtre inédit dans l'histoire : celui d'un astronaute dans l'espace. À Lyon, Louise Vernay, commandant de la brigade criminelle, fait rapidement le rapprochement entre les deux assassinats, très semblables et synchrones, l'un dans l'espace, l'autre sous terre… Qu'est-ce qui les relie ? Pour quelle raison ces deux Américains ont-ils été visés ? Comment ont-ils pu être éliminés au même moment, à une telle distance ?
Louise fait rapidement la rencontre d'un étonnant moine jésuite, astrophysicien et directeur de l'observatoire du Vatican, de passage à Lyon et qui avait rendez-vous avec la victime. Ce personnage troublant lui laisse entendre que des signes d'une présence extraterrestre se multiplient, et qu'ils pourraient bien être à l'origine de ces deux meurtres…"

Grand amateur de SF et de Thriller, je te remercie pour ce repérage !

Echoes a écrit:

Mélange de délire, de factuel et véridique... j'ai beaucoup aimé.

Ah oui il me fait de l'oeil...
Ce sera mon prochain, dès la fin de "L'odyssée du Sacré" qui ne manque pas d'attraits.



Merci Echoes.

Pec a écrit:

Echoes a écrit:En passant petit clin d’œil aux gones (Pec en particulier). Les galeries souterraines "Arêtes de Poisson" existent-elles bien à Lyon ? Déjà visité ? Je dirais que c'est une idée, hein Pec ?

Ce livre est fascinant par la qualité des recherches et données scientifiques. Il a été écrit avant Covid.

Mélange de délire, de factuel et véridique... j'ai beaucoup aimé.



Résumé : "Le pire danger pour l'espèce humaine ? L'ALIENation...
Mai 2022. À 400 kilomètres de la terre, la station spatiale internationale sombre dans la nuit artificielle. Tandis que l'équipage dort, le cadavre éventré d'un astronaute américain flotte en impesanteur dans l'un des modules de recherche. Le même jour, à Lyon, le corps éviscéré d'un biologiste américain est retrouvé à 30 mètres de profondeur, dans un mystérieux réseau de galeries souterraines baptisé les "arêtes de poisson".
S'engage une double enquête, d'abord internationale avec la NASA, aux États-Unis, pour tenter d'élucider un meurtre inédit dans l'histoire : celui d'un astronaute dans l'espace. À Lyon, Louise Vernay, commandant de la brigade criminelle, fait rapidement le rapprochement entre les deux assassinats, très semblables et synchrones, l'un dans l'espace, l'autre sous terre… Qu'est-ce qui les relie ? Pour quelle raison ces deux Américains ont-ils été visés ? Comment ont-ils pu être éliminés au même moment, à une telle distance ?
Louise fait rapidement la rencontre d'un étonnant moine jésuite, astrophysicien et directeur de l'observatoire du Vatican, de passage à Lyon et qui avait rendez-vous avec la victime. Ce personnage troublant lui laisse entendre que des signes d'une présence extraterrestre se multiplient, et qu'ils pourraient bien être à l'origine de ces deux meurtres…"

Ma chère Pascale,
je te remercie pour ton clin d’œil, et le souvenir de tes passages chez les Gones, qui t'ont laissé des souvenirs d'initiée
Je dois préciser qu' il n'y aucun doute sur l'existence des "Arêtes de poisson". Elles sont avérées, documentées, photographiées, mesurées, analysées... Et pourtant, le mystère reste entier sur la destination plus grand ouvrage souterrain humain connu au monde 
Cependant, des bribes de connaissances ont émergé ces dernier temps. Enfin, des amis ont pu y pénétrer légalement tout récemment, et je ne désespère pas d'y parvenir aussi, maintenant que je sais à qui m'adresser   
Bon, maintenant, parlons bouquins...

V 

Cher Vincent, 
Alors je m'inscris pour une visite des "Arêtes de Poissons" dès que tu auras trouvé l'entrée (qq idées à prendre dans le bouquin d'ailleurs) - une fois n'est pas coutume, moi qui habite tout près et au dessus des Catacombes.. jamais mis les pieds
Ahhh vivement ma prochaine visite lyonnaise !
Des bises 

Vu dans le Canard :  

Je lis beaucoup, en particulier polars et thrillers mais pas que !
J'aurais ce soir pu vous conseiller un autre roman extra de Fabrice Papillon "Régression"... dans la même veine que "Aliénés"... hyper documenté et à la fois déjanté. J'ai bcp aimé aussi celui-ci.. je vous laisse découvrir chez votre libraire préféré.

Ce soir un roman court, un roman de rencontre... pas fleur bleu hein. Si le coeur vous en dit...





Résumé :
"J’avais envie d’amour. Envie d’une grande nuit d’amour. D’une rencontre. De ce moment étrange, poétique parfois, qui change le cours de l’eau d’une vie.
Je voulais comprendre jusqu’où l’on peut aimer, jusqu’où l’on peut aller vers l’autre et ressentir que chaque pas est un choix. Je rêvais d’entendre à nouveau quelques airs d’opéra, des arias de douleur et de beauté, et retrouver ces hommes et femmes capables de se jeter dans le vide par amour. Parce que c’est vivre sans amour qui est l’enfer. »
G.D.


Elle s’appelle Aurore. Et pourtant c’est au crépuscule qu’elle rencontre Simeone, un soir d’automne, à Paris, aux abords du local d’un groupe de parole. Elle quitte une réunion, lui arrive pour la suivante. Il attend, l’observe, intrigué, mais c’est elle qui s’adresse à lui. Le temps d’une cigarette, la conversation s’engage.
Après trente ans d’amour fou, Aurore sait qu’elle va être quittée par son mari. Simeone a la gorge mangée par un crabe, il lui reste peu de temps à vivre, il refuse de lutter et sa femme a peur. Alors les deux inconnus s’avancent ensemble dans une nuit qui ne ressemblera à nulle autre, des rues de Paris à un bar de nuit, d’une chambre d’hôtel à un aller-retour en taxi vers Roissy et une évasion vers les rivages de l’aube. Première ou dernière nuit, tous deux l’ignorent. Ils ne sont sûrs que d’une chose : au matin, après cette bouleversante nuit d’amour, rien ne sera plus jamais comme avant. Car l’amour ne s’écrit jamais à l’avance.
Romanesque, poétique, fulgurant : un magnifique roman d’amour.