Et si j'allumais la Radio ...

Rock sudiste des années 70, vivre intensément et vite, le temps est compté.

Etabli en Georgie, ce groupe a inventé au début des années 70 le rock sudiste, creuset où se sont fondus, rock, rhythm'n blues, country et jazz à coup de double batterie, d'orgue Hamonn et de "duels" de guitares.
Bande de motards rebelles, adeptes d’improvisations influencées par John Coltrane et Miles Davis autant que par T.Bone Walker et Mudy Waters, ces fiers hippies sudistes ont apportés à la musique une contribution aussi aventureuse que généreuse.





En octobre 1971, Duane Allman percute de plein fouet un camion sur sa Harley Davidson Sportser. Ironie de l'histoire; un an plus tard, à quelque centaines de mètres de là, son meilleur ami, Berry Oakley, lui aussi motard, s'encastre dans un autocar. Tous deux avaient vingt quatre ans.

Autre incarnation du rock sudiste des années 70, Lynird Sskynird. La réputation de durs et de Sudistes fiers de l'être, des musiciens et leur mode de vie extêmiste se mêlent à un attachement profond aux valeurs de la vie rurale, à un humour bonhomme et à une générosité scénique sans pareille.





Le 20 octobre 1977, l'avion qui transporte le Lynird Skynird s'écrase dans le Mississippi, Steve et Cassie Gaines, Ronnie Van Zant et Dean Kilpatrick sont tués; le groupe est décimé.

Merci pour ta culture Rock Bill 

Toujours très intéressant avec les explications qui vont avec 

Thierry et toi êtes intarissables 

Brigitte a écrit:Merci pour ta culture Rock Bill 

Toujours très intéressant avec les explications qui vont avec 

Thierry et toi êtes intarissables 

Sinon, par pur plaisir, je me repassais la session KEXP de Zola Jesus et tout particulièrement le final Exhumed et ... dans un tout autre registre, ça me fait irrémédiablement penser à un autre affrontement Guitare trifouillée / Belle voix féminine que j'ai pu apprécié en concert fin 2014 : Gerry Leonard - guitariste, entre autres, de David Bowie - et Suzanne Vega et Gerry a souvent été le seul à jouer de la Guitare alors que Suzanne nous faisait profiter de sa magnifiques voix et ici, Gerry singe avec virtuosité la reprise de DNA de Tom's Diner (morceau, originalement a cappella, je le rappelle petit morceau d'à peine 2 minutes sur l'Album Solitude Standing qui a donné, par la suite, un album complet de reprises par des musiciens de différents horizons)

Tant qu'à être dans les mariages improbables, je ne peux résister à la rencontre magique de Massive Attack et THE plus belle voix du Rock ... et pas que pour moi   ... je veux dire Madame Elizabeth 'Liz' Frazer : Teardrop

Vendredi soir, j'ai regardé le film Rock'n'Roll of Corse qui parle du musicien Corse Henry Padovani.
Je le connaissais comme un des piliers du label indépendant I.R.S. Records qui a produit, entre autres R.E.M. à ses débuts ou, pour faire plus local, The Cramps ou encore The Wall Of Voodoo dont j'ai déjà parlé ici
Son nom était aussi souvent cité comme un personnage influent par de nombreux artistes de la scène Punky-Alterno-Indie-Rocky Anglaise que j'affectionne tant  et donc ma curiosité était aiguillonnée  ... et elle a été récompensée par un beau voyage à travers de beaux souvenirs en compagnie d'un véritableu King Of Cool  

Dans le foulée, concert de 2018 de The XX au Melt Festival et ma foi, je dois dire que j'aime beaucoup la maturité gagnée par le groupe  

Les liens d'arte TV :
- le film Rock'n'Roll Of Corse dans son intégralité disponible en Replay jusqu'au 4/10/2018
- Concert de The XX au Met Festival 2018 de meilleure qualité que le lien ci-dessus mais plus éphémère puisque disponible jusqu'au 28/11/2018 seulement .....  à écouter , peut-être, après celui beaucoup plus introspectif, de 2017 à la Halle Tony Garnier à Lyon pour apprécier la confiance grandissante de Romy Madley-Croft

Salut Rock,

Je confirme, le doc sur Padovanî est vraiment très sympa, à ne pas rater.
The XX par contre, j’adhere Pas vraiment, mais sinon il y a un concert de the Hives toujours sur Arte en replay, qui déménage bien.

À plus et bonne nuit.

Vu les musiques de dingue que j'écoute la plupart du temps, je vais éviter de vous partager ces atrocités qui vous feraient saigner les oreilles !   Ma bonté me perdre, ne me remerciez pas... 

Un peu de velours pour les oreilles :

https://www.youtube.com/watch?v=bqFb6VXW86Y&feature=share


Et un autre en live :

https://www.youtube.com/watch?v=JgMYLq5q52Q&feature=share

Bonne nuit

Pascalito a écrit:Un peu de velours pour les oreilles :

https://www.youtube.com/watch?v=bqFb6VXW86Y&feature=share


Et un autre en live :

https://www.youtube.com/watch?v=JgMYLq5q52Q&feature=share

Bonne nuit

Oui, Jack White et son touché de guitare fabuleux, en parlant de monsieur Jaques Blanc je suis déçu par son dernier album où je ne retrouve pas l'intensité de ces précédents disques.

Autre chose l'intro de "As She Goes" ne vous rappel rien ?

Souvenez vous...

@ Rock 80
Quand Stan Ridgway fait dans la country Cow Boy aux relents militaristes pour le corps des Marines; Engagez Vous !  

I

Bill Carbu a écrit:

Pascalito a écrit:Un peu de velours pour les oreilles :

https://www.youtube.com/watch?v=bqFb6VXW86Y&feature=share


Et un autre en live :

https://www.youtube.com/watch?v=JgMYLq5q52Q&feature=share

Bonne nuit

Oui, Jack White et son touché de guitare fabuleux, en parlant de monsieur Jaques Blanc je suis déçu par son dernier album où je ne retrouve pas l'intensité de ces précédents disques.

Autre chose l'intro de "As She Goes" ne vous rappel rien ?

Souvenez vous...

J’ai effectivement été un poil déçu par le concert de Mr Blanc diffusé il y a peu sur Inter, trop electro à mon goût.

Quant à’ J fils de Jack, un grand bonhomme vu à Toulouse il y a peu(3 ou 4 ans), super soirée mais il n’avait pas l’air en sûper forme physique, il a vieilli comme nous’ tous.

Bill Carbu a écrit:@ Rock 80
Quand Stan Ridgway fait dans la country Cow Boy aux relents militaristes pour le corps des Marines; Engagez Vous !  

Ah ? Tu veux dire qu'Apocalypse Now de Coppola, Platoon d'Oliver Stone ou encore  M.A.S.H. d'Altman sont des films militaristes  

Je dis ça par rapport à l'interprétation que j'ai de cette partie de la chanson :
And the battle I'd spent with a big marine named Camouflage
When I said his name a soldier gulped and the medic took my arm
And led me to a green tent on the right
He said "You may be tellin' true boy, but this here is Camouflage"
"And he's been right here since he passed away last night"
"In fact he's been here all week long"
"But before he went he said 'semper fi' and said his only wish"
"Was to save a young marine caught in a barrage"
"So here, take his dog tag son, I know, he'd want you to have it now"
passage qui laisse à penser à une santé mentale altérée par la guerre    ... mais ça n'est que mon interprétation  

Pascalito a écrit:Un peu de velours pour les oreilles :

https://www.youtube.com/watch?v=bqFb6VXW86Y&feature=share


Et un autre en live :

https://www.youtube.com/watch?v=JgMYLq5q52Q&feature=share

Bonne nuit

À l'instar de Bill, je me perds un peu dans les tribullations assez inégales (et trop américano-américaines à mon goût) de Jack White

Bill Carbu a écrit:[...]
Autre chose l'intro de "As She Goes" ne vous rappel rien ?

Souvenez vous...

Si j'ai été fan absolu de Joe Jackson pour ses premiers albums, je dirais que j'ai perdu le fil après Night Music et ses pérégrinations chez Sony Classic. Ensuite, ce ne seront que des pointillés même si un album comme Volume 4 a quelque peu ravivé une flamme

Ghost Dog a écrit:Vu les musiques de dingue que j'écoute la plupart du temps, je vais éviter de vous partager ces atrocités qui vous feraient saigner les oreilles !   Ma bonté me perdre, ne me remerciez pas...  

Ah bon, si tu penses que c'est mieux ... alors    ... pourtant ...      et pis, d'te façon, on peut pas dire avant, sans savoir de quoi ça retourne  

Rock80 a écrit:Ah bon, si tu penses que c'est mieux ... alors    ... pourtant ...      et pis, d'te façon, on peut pas dire avant, sans savoir de quoi ça retourne  

C'est donc vrai ? Il reste en ce bas monde de véritables aventuriers, prêts aux découvertes les plus folles... 

Petite piqûre de rappel d'une immense artiste !



Une magnifique vidéo !


Là elle me fout les poils !!

Classique rappel !

Merci Philippe pour ce nouveau morceau peu importe que l'on soit pour ou pas ; la rubrique a fait un "attends moi" qui manque ce dernier mois dans les derniers sujets du forum 

Je comprends bien que la culture musicale n'est pas forcément féconde mais j'en attends tellement de cette rubrique que j'en suis scotchée 

D

Ghost Dog a écrit:

Rock80 a écrit:Ah bon, si tu penses que c'est mieux ... alors    ... pourtant ...      et pis, d'te façon, on peut pas dire avant, sans savoir de quoi ça retourne  

C'est donc vrai ? Il reste en ce bas monde de véritables aventuriers, prêts aux découvertes les plus folles... 

heu comme a on les mêmes goûts...vaut mieux pas qu’ils écoutent haha

Histoire du Rock

FREE
Groupe de Blues-Rock Britannique, 1968-1973

Surtout connu pour « All Right Now », un des riffs les plus fameux du début des années 70, ce groupe de blues-rock formé à Londres en 1968 a accueilli les débuts de Paul Rogers, le futur chanteur de Bad Compagny, et du guitar héro Paul Kossoff, prématurément disparu (mort en 76 par arrêt cardiaque en avion entre Los Angeles et New York), comparé en son temps à Eric Clapton.

En 1970, « All Right Now » propulse Free en première division. Avec son riff simple à léger effet de retardement, son chant hurlé, ce titre annonce, tout un pan du hard rock américain, parallèlement au « Whole Lotta Love» de Led Zeppelin.


L’album Fire And Water (1970) confirme le succès de Free des deux côtés de l’Atlantique.

Mais le succès va détériorer les rapports au sein d’un groupe encore vert et marqué par de fortes personnalités, l’addiction aux drogues de Kossoff n’arrangera pas les choses.
En 71 le groupe éclatera une première fois pour disparaître en 1973.

Mythique 

En cette rentré, il y deux albums enchanteurs : Celui d'Anna Calvi dont j'ai déjà parlé il y a peu et aussi Wanderer de Cat Power qui signe le retour de Chan Marshall vers son style original plus sobre et mélancolique avec des merveilles comme You Get ou encore Woman
Et dans les trucs sympas de l'été, j'avais omis de citer le duo Electro Français Agar Agar qui, après un excellent EP sorti uniquement en format digital : Cardan     a enfin sorti son premier album The Dog & The Future
Et, bien sûr, toujours en Electro, le nouveau Jeanne Added : Radiate

Plus Pop, y'a aussi Clara Luciani qui me touche avec son album Sainte Victoire et que j'ai vue en concert il y a quelques jours

Et un Clin d'oeil à Ian Mc Culloch / Echo & The Bunnymen qui est actuellement en tournée et qui, a mon goût, n'a pas eu le succès qu'ils méritaient

bon je vais mettre un peu de musique de jeunes 

J'aime beaucoup leur interprétation de : Sound Of Silence 

joe Jackson album « the Duke », Ellington revisité superbe album.

Avant que Bill ne s'y colle, en début de la 1° vidéo des Dérangés, y'a une séquence qui m'a fait penser à la couverture de ce dixe que j'écoutais il y a longtemps

C'est drôle, des fois, la mémoire

jer24 a écrit:bon je vais mettre un peu de musique de jeunes 

Et moi pour les vieux !

bien bill carbu   

un ptit ZZTOP pour finir le week end 

jer24 a écrit:bien bill carbu   

un ptit ZZTOP pour finir le week end 

Ah mais ne compte pas t'en tirer comme ça, t'as compris que t'as réveillé les résidents de l'EHPAD (juste avant les coquillettes et l'épisode de Derick) donc je relance d'un :

 excellent !!!
 un mec qui roule en vfr ne peut être que bon  . j ai eu un vfr ...le vrai ...rc46 avec le moteur a cascade de pignions 


un slow avant de vous coucher 

jer24 a écrit: excellent !!!
un slow avant de vous coucher 

Mais on a rien à foutre de tes slows à la mord moi le nœud ! L'infirmière n'est pas encore passée, alors...

Retour aux choses sérieuses.

Histoire du Rock


De 1967 à 1976, neuf ans d’existence, seize albums dont trois avec Bob Dylan, deux live, deux compilations, une reformation en 1986 enrayée par le suicide de Richard Manuel, et une seconde en 93 sans Robbie Robertson, indifférent.

Quatre Canadiens et un Sudiste installés à West Saugerties près de chez Dylan, un solide contexte professionnel (les Hawks de Ronnie Hawkins, puis les tournées avec Dylan des 1965) et des chansons incomparables.

The Band (l’Orchestre) est le groupe le plus sous-estimé du public de toute l’histoire, alors qu’il est l’essence même du Rock US.

Malgré l’hostilité des jaloux, un manager dictatorial, la drogue, la peur maladive de la scène de Robertson, le groupe a su maintenir une cohésion et une alchimie véritables jusqu’à son fameux concert d’adieux, le 25 novembre 1976 filmé par Martin Scorsese (The Last Waltz et ses invités prestigieux).

The Band "The Weight"


Avec Muddy Waters

Avec Eric Clapton

Avec Neil Young

Avec Bob Dylan

Avec Joni Mitchell

Merci Bill d'avoir remonté ces souvenirs. J'étais allé voir le film de Scorsese sur leur dernier concert, et je possède encore, je crois, le disque, dans un carton. J'avais beaucoup aimé Joni Mitchell, et Emilou Harris, et ce fut un disque que j'ai écouté encore et encore... Plaisir de revoir et d'entendre ces voix... Merci! 

Pianiste américain, dont vous connaissez sûrement quelques morceaux : Goodbye Philadelphia, On the Moon... et Sway ci-dessous.

Pour coller au titre du post, pas de groupe, pas d'artiste, pas d'album, nan nan , de la radio.
Pour ceux qui aiment le jazz : Cliquer ici

Repérage

Sex Pistols concert de 2007, mais que peut-il rester de ce groupe 30 ans après Never Mind the Bollocks des cadavres ? des zombies ? où les deux ?  

La réponse dans ce concert filmé, plein de caméras, bon son,  le spectacle est partout, autant sur scène que parmi le public, rien que pour l'intro cela vaut le détour! Je pense que Jhonny Rotten a du se dire; si il n'en reste qu'un je serais celui-là ! (on est pas à une ou deux dents près)  

"ll y aura toujours une Angleterre" a été réalisé par Julien Temple , qui a dirigé les documentaires précédents du groupe, The Great Rock and Roll Swindle et The Filth and the Fury . C'est un film de concert live des concerts organisé par la Sex-Pistols en novembre 2007 à la Brixton Academy et célébrant le 30e anniversaire de Never Mind the Bollocks.


'taint c'est l'heure de ma bièrrowiski, je ferme; Sid Vicious tu peux reposer en paix, la maison est bien tenue .

Il est des fois où l'émotion résonne sans pouvoir la raisonner :

Rien que pour le refrain qui me revient souvent comme une boucle entêtante :
We can't afford to be innocent / Stand up and face the enemy / It's a do or die situation / We will be invincible
And with the power of conviction / There is no sacrifice / It's a do or die situation / We will be invincible

et, un peu plus loin
This shattered dream you cannot justify / We're gonna scream until we're satisfied / What are we running for?
We've got the right to be angry / What are we running for? / When there's no where we can run to anymore
[...] Won't anybody help us? / What are we running for? / When there's no where, no where we can run to anymore

Mazette de mazette, comme c'est bô toute cette rage volontaire  

Les livreurs de cuisine, jeunes ou vioques, peuvent aller ce rhabiller avec leurs fous à micro-ondes

Histoire du Rock.

Derek and the Dominos est un groupe de blues rock américain, originaire de Londres, Royaume-Uni. Le groupe est éphémère et ne dure qu'un an entre 1970 et 1971.

Le groupe se forme en Angleterre au printemps de l'année 1970 autour du célèbre guitariste anglais Eric Clapton avec des membres de son ancien groupe Delaney and Bonnie and Friends. Le groupe est alors composé de Bobby Whitlock (clavier, chant), Carl Radle (basse) et Jim Gordon (batterie).

Layla and Other Assorted Love Songs (1970) album de blues rock, souvent considéré comme l'un des meilleurs albums de l'histoire du rock et un sommet dans la carrière d’Eric Clapton.
En 2003, l'album est classé au 115e rang par le magazine Rolling Stone parmi les 500 plus grands albums de tous les temps, et au 117e rang en 20124. Il est également cité dans l'ouvrage de référence de Robert Dimery Les 1001 albums qu'il faut avoir écoutés dans sa vie et dans un très grand nombre d'autres listes similaires.

On remarquera la présence de Duane Allman des Allman Brothers en soutien d'Eric Clapton pour les solos, un must !

Enfin on notera la présence sur ce disque d'une des chansons les plus célèbres d'Eric Clapton, le magazine Rolling Stone place en 2004 la chanson Layla en 27e position de son classement des 500 meilleures chansons de tous les temps.

Ah quelle belle année que 1970 pour la musique rock !

Bon, curieux qu'aucun amateur de Rock US des 70's - et j'e, ai noté par ici - n'ait relevé ce soit-disant Événement (Enfin c'en est est un quand même vu qu'il n'y avait qu'une seule date )  
Après, je ne sais pas si le meileur endroit pour ce post est ici ou lma rubrique "Cinéma" ...

une seule séance hier soir à 20h apparemment dans toute le France en Dolby Atmos qui disent ... Zarma  

Bon, je suis pas fan des concerts assis, à peine plus de ceux "projetés" mais la promesse était tentante puisque j'aime le le Jimmy et y fera plus beaucoup de bruit depuis Lachaise
Je me suis donc retrouvé hier soir à cette projection unique avec la moitié de l'EPHAD d'Épinal  

Bin ch'û revenu encore plus circonspect paske côté son, c'était pas top même si ils avaient coller les parties les plus pourries en premier et que ça s'améliore en avançant mais le mix reste bizarre du début à la fin
Après, les images auraient pu faire mouche mais le montage est mollasson    (bon, OK, c'est un concert des 70's, aux US et donc y sont plutôt sur des trips LSD / Héroïne que Cocaïne )  et, en plus, ils ont pris un Chef Op' bigleux qui fait passer, sûrement involontairement, Morrisson  pour un mec pas net façon Robin William dans "Harry dans tous ses états" de Woody Allen.

En plus, ce film fait partie de la tournée dont sera tiré l'Absolutely Live (qui est, soit dit en passant un excellent Live) et ça fait donc un peu redite ... mais perso, je pense que j'aurais plus apprécié une réécoute de la version Remasterisée de l'Absolutely Live 'dépouillée des ajouts parasites de "Alive She Cried" et autres extraits sonores de ce "Live at The Bowl' 68" et j'aurais économisé le prix du ticket payé plus cher que pour n'importe quelle film projeté ici au tarif plein (12 € au lieu de 9,60€ pour des séances classiques ... et surtout les 4,50 € que je paie habituellement avec ma carte de membre du Club Cinéphile local). Bref, comme je le disais par ailleurs, on est sur de l'optimisation de vieilles gloires

Rock80 a écrit:Bon, curieux qu'aucun amateur de Rock US des 70's - et j'e, ai noté par ici    - n'ait relevé ce soit-disant Événement (Enfin c'en est est un quand même vu qu'il n'y avait qu'une seule date )  

C'est à dire que ce film est disponible sur youtioube depuis un moment, à moins que ce soit une nouvelle version ?

Bill Carbu a écrit:[...]
C'est à dire que ce film est disponible sur youtioube depuis un moment, à moins que ce soit une nouvelle version ?  

Le générique précise que la version du film est celle de 2012 mais il s'agit ici d'une projection unique de la version "Grand Ecran" - et moi, j'préfère de loin le Grand Écran à la petite lucarne - en Dolby Atmos comme je le disais (pour les salles équipées; oeuf corse et indisponible actuellement "à la maison" )

bonne nuit les enfants