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Journal d'un confinement
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Re: Journal d'un confinement
Covid facteur de hausse de natalité dans 1 an:
Santé La pandémie de Covid-19 fait craindre une pénurie de préservatifs
En raison de la pandémie de coronavirus, une entreprise malaisienne, leader mondial dans la production de préservatifs, a arrêté totalement son activité. Ses dirigeants avertissent contre un risque de pénurie mondiale.
Ils font 20% de la production mondiale, et auront besoin de au moins 2 mois pour redémarrer quand ils en seront là.
Je vous le dit, Covid n'a pas fini de nous étonner!
V
Santé La pandémie de Covid-19 fait craindre une pénurie de préservatifs
En raison de la pandémie de coronavirus, une entreprise malaisienne, leader mondial dans la production de préservatifs, a arrêté totalement son activité. Ses dirigeants avertissent contre un risque de pénurie mondiale.
Ils font 20% de la production mondiale, et auront besoin de au moins 2 mois pour redémarrer quand ils en seront là.
Je vous le dit, Covid n'a pas fini de nous étonner!
V
Pec- Messages : 7670
Date d'inscription : 11/10/2015
Age : 70
Localisation : Village Ouest Lyonnais
Re: Journal d'un confinement
Que veux tu Laurence,
c'est général, les gens explosent derrière les réseaux (forums ou autre).
Et comme d'hab tout prend très vite de fortes proportions.
Comme dirait un ami (qui doit être mort maintenant) qui après m'avoir écrit 3 pages pour m'insulter, me pourrir, me traiter de tous les noms et me fustiger de mon incompétence crasse finissait ses mails par :
But what can i do it's life !
J'aime aussi les conclusions hollandaises : shit happens.
Ou nos amis africains en parlant d'une machine ou d'un moteur cassé, il a attrapé le sida, ou il est cadavéré.
(cadavéré, c'est fichu, on ne peut plus rien faire )
Bref le post de PEC il est parti en distribil et même avec des coups de pen baz tu vas avoir du taf
A+
c'est général, les gens explosent derrière les réseaux (forums ou autre).
Et comme d'hab tout prend très vite de fortes proportions.
Comme dirait un ami (qui doit être mort maintenant) qui après m'avoir écrit 3 pages pour m'insulter, me pourrir, me traiter de tous les noms et me fustiger de mon incompétence crasse finissait ses mails par :
But what can i do it's life !
J'aime aussi les conclusions hollandaises : shit happens.
Ou nos amis africains en parlant d'une machine ou d'un moteur cassé, il a attrapé le sida, ou il est cadavéré.
(cadavéré, c'est fichu, on ne peut plus rien faire )
Bref le post de PEC il est parti en distribil et même avec des coups de pen baz tu vas avoir du taf
A+
LAN33- Messages : 1523
Date d'inscription : 26/02/2016
Localisation : LUDON MEDOC
Re: Journal d'un confinement
Ce topic n'ayant pas vocation à servir de ring de boxe ou de tribune d'expression politique, j'ai fait du ménage, pis comme je suis encore moins doué avec une éponge qu'avec un guidon et que je m'étais habitué à une certaine tranquillité modérastique avant que les réactions du finnement ne nous sorte de notre calme, désolé pour les dommages collatéraux, ou colle à terrot, ça fait plus motard (qui ne monte pas au nez).
On a tous envie/besoin (aucun mot inutile) de rouler, @+ les finnés.
On a tous envie/besoin (aucun mot inutile) de rouler, @+ les finnés.
Re: Journal d'un confinement
La vraie question est : Peut-on ne pas avoir d'affinités et s'aimer et vice-versa ?Laurence a écrit: même si vos affinités ne sont pas réelles (on ne peut pas aimer ni être aimés pas tout le monde .. buvez un on aura des jours meilleurs )
Deux personnes qui n'ont pas d'affinités pourraient-elles dire qu'elles ne s'aiment pas ?
Ne pas aimer quelqu'un, c'est tout de même un sentiment fort.... Non ?
Heureusement que Bullit n'est pas là....On peut encore causer...
Aindien- Conteur effréné
- Messages : 3551
Date d'inscription : 10/10/2015
Age : 92
Localisation : Culoz Ain
Re: Journal d'un confinement
Flat-win a écrit:...j'ai fait du ménage, pis comme je suis encore moins doué avec une éponge qu'avec un guidon .
En effet, t'as taillé une feuille de A4 à la tronçonneuse
Vincent- Messages : 3104
Date d'inscription : 04/02/2016
Age : 57
Localisation : 78 OUEST
Re: Journal d'un confinement
LAN33 a écrit:Que veux tu Laurence,
c'est général, les gens explosent derrière les réseaux (forums ou autre).
Et comme d'hab tout prend très vite de fortes proportions.
Comme dirait un ami (qui doit être mort maintenant) qui après m'avoir écrit 3 pages pour m'insulter, me pourrir, me traiter de tous les noms et me fustiger de mon incompétence crasse finissait ses mails par :
But what can i do it's life !
J'aime aussi les conclusions hollandaises : shit happens.
Ou nos amis africains en parlant d'une machine ou d'un moteur cassé, il a attrapé le sida, ou il est cadavéré.
(cadavéré, c'est fichu, on ne peut plus rien faire )
Bref le post de PEC il est parti en distribil et même avec des coups de pen baz tu vas avoir du taf
A+
Pour ceussent qui se demanderaient pourquoi tu me répond à un post qui n'est plus ici .. Bruno a fait un ménage de printemps et mon post était du voyage
Pour le taf je fais confiance au bon sens de chacun .. je ne pense (et n'espère) pas avoir de taf !
Laurence- Modo
- Messages : 7009
Date d'inscription : 09/10/2015
Age : 64
Localisation : Lille
Re: Journal d'un confinement
Ouais!! ! Ça taille dur
Mais bon , je trouvais que l'incident étais clos ,beaucoup de tintouin pour pas grand chose...
Si on parlait chiffons
Mais bon , je trouvais que l'incident étais clos ,beaucoup de tintouin pour pas grand chose...
Si on parlait chiffons
olivier81- Messages : 1999
Date d'inscription : 10/10/2015
Age : 62
Localisation : Tarn
Re: Journal d'un confinement
olivier81 a écrit:Ouais!! ! Ça taille dur
Mais bon , je trouvais que l'incident étais clos ,beaucoup de tintouin pour pas grand chose...
Si on parlait chiffons
Hoooo ouiiiiiiiiiiii
Laurence- Modo
- Messages : 7009
Date d'inscription : 09/10/2015
Age : 64
Localisation : Lille
Re: Journal d'un confinement
Dis donc ,t'es pas encore au pieu ,tu bosses pas
Ma lolo à moi elle fait dodo car ce truc ça la crève pas mal... entre les patients , les demandants et ceux qi veules pas bosser ou qui on la trouille ou qui fond n'importent quoi !
Quand à moi ci ça continue je vais ressembler a une grosse limace qui a choper la mixomatose !
Ma lolo à moi elle fait dodo car ce truc ça la crève pas mal... entre les patients , les demandants et ceux qi veules pas bosser ou qui on la trouille ou qui fond n'importent quoi !
Quand à moi ci ça continue je vais ressembler a une grosse limace qui a choper la mixomatose !
olivier81- Messages : 1999
Date d'inscription : 10/10/2015
Age : 62
Localisation : Tarn
Re: Journal d'un confinement
Bonjour les plus ou moins jeunes,
avant d'attaquer de front ma journée devant mon écran un peu de lecture, un courrier ouï hier matin sur France Inter:
Cergy, le 30 mars 2020
Monsieur le Président,
« Je vous fais une lettre/ Que vous lirez peut-être/ Si vous avez le temps ». À vous qui êtes féru de littérature, cette entrée en matière évoque sans doute quelque chose. C’est le début de la chanson de Boris Vian Le déserteur, écrite en 1954, entre la guerre d’Indochine et celle d’Algérie. Aujourd’hui, quoique vous le proclamiez, nous ne sommes pas en guerre, l’ennemi ici n’est pas humain, pas notre semblable, il n’a ni pensée ni volonté de nuire, ignore les frontières et les différences sociales, se reproduit à l’aveugle en sautant d’un individu à un autre. Les armes, puisque vous tenez à ce lexique guerrier, ce sont les lits d’hôpital, les respirateurs, les masques et les tests, c’est le nombre de médecins, de scientifiques, de soignants. Or, depuis que vous dirigez la France, vous êtes resté sourd aux cris d’alarme du monde de la santé et ce qu’on pouvait lire sur la banderole d’une manif en novembre dernier -L’état compte ses sous, on comptera les morts - résonne tragiquement aujourd’hui. Mais vous avez préféré écouter ceux qui prônent le désengagement de l’Etat, préconisant l’optimisation des ressources, la régulation des flux, tout ce jargon technocratique dépourvu de chair qui noie le poisson de la réalité. Mais regardez, ce sont les services publics qui, en ce moment, assurent majoritairement le fonctionnement du pays : les hôpitaux, l’Education nationale et ses milliers de professeurs, d’instituteurs si mal payés, EDF, la Poste, le métro et la SNCF. Et ceux dont, naguère, vous avez dit qu’ils n’étaient rien, sont maintenant tout, eux qui continuent de vider les poubelles, de taper les produits aux caisses, de livrer des pizzas, de garantir cette vie aussi indispensable que l’intellectuelle, la vie matérielle.
Choix étrange que le mot « résilience », signifiant reconstruction après un traumatisme. Nous n’en sommes pas là. Prenez garde, Monsieur le Président, aux effets de ce temps de confinement, de bouleversement du cours des choses. C’est un temps propice aux remises en cause. Un temps pour désirer un nouveau monde. Pas le vôtre ! Pas celui où les décideurs et financiers reprennent déjà sans pudeur l’antienne du « travailler plus », jusqu’à 60 heures par semaine. Nous sommes nombreux à ne plus vouloir d’un monde dont l’épidémie révèle les inégalités criantes, Nombreux à vouloir au contraire un monde où les besoins essentiels, se nourrir sainement, se soigner, se loger, s’éduquer, se cultiver, soient garantis à tous, un monde dont les solidarités actuelles montrent, justement, la possibilité. Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie, nous n’avons qu’elle, et « rien ne vaut la vie » - chanson, encore, d’Alain Souchon. Ni bâillonner durablement nos libertés démocratiques, aujourd’hui restreintes, liberté qui permet à ma lettre – contrairement à celle de Boris Vian, interdite de radio – d’être lue ce matin sur les ondes d’une radio nationale.
Annie Ernaux
avant d'attaquer de front ma journée devant mon écran un peu de lecture, un courrier ouï hier matin sur France Inter:
Cergy, le 30 mars 2020
Monsieur le Président,
« Je vous fais une lettre/ Que vous lirez peut-être/ Si vous avez le temps ». À vous qui êtes féru de littérature, cette entrée en matière évoque sans doute quelque chose. C’est le début de la chanson de Boris Vian Le déserteur, écrite en 1954, entre la guerre d’Indochine et celle d’Algérie. Aujourd’hui, quoique vous le proclamiez, nous ne sommes pas en guerre, l’ennemi ici n’est pas humain, pas notre semblable, il n’a ni pensée ni volonté de nuire, ignore les frontières et les différences sociales, se reproduit à l’aveugle en sautant d’un individu à un autre. Les armes, puisque vous tenez à ce lexique guerrier, ce sont les lits d’hôpital, les respirateurs, les masques et les tests, c’est le nombre de médecins, de scientifiques, de soignants. Or, depuis que vous dirigez la France, vous êtes resté sourd aux cris d’alarme du monde de la santé et ce qu’on pouvait lire sur la banderole d’une manif en novembre dernier -L’état compte ses sous, on comptera les morts - résonne tragiquement aujourd’hui. Mais vous avez préféré écouter ceux qui prônent le désengagement de l’Etat, préconisant l’optimisation des ressources, la régulation des flux, tout ce jargon technocratique dépourvu de chair qui noie le poisson de la réalité. Mais regardez, ce sont les services publics qui, en ce moment, assurent majoritairement le fonctionnement du pays : les hôpitaux, l’Education nationale et ses milliers de professeurs, d’instituteurs si mal payés, EDF, la Poste, le métro et la SNCF. Et ceux dont, naguère, vous avez dit qu’ils n’étaient rien, sont maintenant tout, eux qui continuent de vider les poubelles, de taper les produits aux caisses, de livrer des pizzas, de garantir cette vie aussi indispensable que l’intellectuelle, la vie matérielle.
Choix étrange que le mot « résilience », signifiant reconstruction après un traumatisme. Nous n’en sommes pas là. Prenez garde, Monsieur le Président, aux effets de ce temps de confinement, de bouleversement du cours des choses. C’est un temps propice aux remises en cause. Un temps pour désirer un nouveau monde. Pas le vôtre ! Pas celui où les décideurs et financiers reprennent déjà sans pudeur l’antienne du « travailler plus », jusqu’à 60 heures par semaine. Nous sommes nombreux à ne plus vouloir d’un monde dont l’épidémie révèle les inégalités criantes, Nombreux à vouloir au contraire un monde où les besoins essentiels, se nourrir sainement, se soigner, se loger, s’éduquer, se cultiver, soient garantis à tous, un monde dont les solidarités actuelles montrent, justement, la possibilité. Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie, nous n’avons qu’elle, et « rien ne vaut la vie » - chanson, encore, d’Alain Souchon. Ni bâillonner durablement nos libertés démocratiques, aujourd’hui restreintes, liberté qui permet à ma lettre – contrairement à celle de Boris Vian, interdite de radio – d’être lue ce matin sur les ondes d’une radio nationale.
Annie Ernaux
Pascalito- Messages : 2898
Date d'inscription : 11/10/2015
Age : 60
Localisation : Lot & Garonne
Re: Journal d'un confinement
Merci Pascal
olivier81- Messages : 1999
Date d'inscription : 10/10/2015
Age : 62
Localisation : Tarn
Re: Journal d'un confinement
Pour sortir par le haut, par la sagesse, par la poésie... bref, pour sortir comme on peut du marasme, cette réflexion sur nos malheurs du moment:
" On aurait dû se méfier...Une année qui s'écrit 2X20, forcément, ça sentait la quarantaine!"
V
Pec- Messages : 7670
Date d'inscription : 11/10/2015
Age : 70
Localisation : Village Ouest Lyonnais
olivier81- Messages : 1999
Date d'inscription : 10/10/2015
Age : 62
Localisation : Tarn
Re: Journal d'un confinement
Rien n'a été oublié ...
Monsieur le Président,
« Je vous fais une lettre/ Que vous lirez peut-être/ Si vous avez le temps ». À vous qui êtes féru de littérature, cette entrée en matière évoque sans doute quelque chose. C’est le début de la chanson de Boris Vian Le déserteur, écrite en 1954, entre la guerre d’Indochine et celle d’Algérie. Aujourd’hui, quoique vous le proclamiez, nous ne sommes pas en guerre, l’ennemi ici n’est pas humain, pas notre semblable, il n’a ni pensée ni volonté de nuire, ignore les frontières et les différences sociales, se reproduit à l’aveugle en sautant d’un individu à un autre. Les armes, puisque vous tenez à ce lexique guerrier, ce sont les lits d’hôpital, les respirateurs, les masques et les tests, c’est le nombre de médecins, de scientifiques, de soignants. Or, depuis que vous dirigez la France, vous êtes resté sourd aux cris d’alarme du monde de la santé et ce qu’on pouvait lire sur la banderole d’une manif en novembre dernier -L’état compte ses sous, on comptera les morts - résonne tragiquement aujourd’hui. Mais vous avez préféré écouter ceux qui prônent le désengagement de l’Etat, préconisant l’optimisation des ressources, la régulation des flux, tout ce jargon technocratique dépourvu de chair qui noie le poisson de la réalité. Mais regardez, ce sont les services publics qui, en ce moment, assurent majoritairement le fonctionnement du pays : les hôpitaux, l’Education nationale et ses milliers de professeurs, d’instituteurs si mal payés, EDF, la Poste, le métro et la SNCF. Et ceux dont, naguère, vous avez dit qu’ils n’étaient rien, sont maintenant tout, eux qui continuent de vider les poubelles, de taper les produits aux caisses, de livrer des pizzas, de garantir cette vie aussi indispensable que l’intellectuelle, la vie matérielle.
Choix étrange que le mot « résilience », signifiant reconstruction après un traumatisme. Nous n’en sommes pas là. Prenez garde, Monsieur le Président, aux effets de ce temps de confinement, de bouleversement du cours des choses. C’est un temps propice aux remises en cause. Un temps pour désirer un nouveau monde. Pas le vôtre ! Pas celui où les décideurs et financiers reprennent déjà sans pudeur l’antienne du « travailler plus », jusqu’à 60 heures par semaine. Nous sommes nombreux à ne plus vouloir d’un monde dont l’épidémie révèle les inégalités criantes, Nombreux à vouloir au contraire un monde où les besoins essentiels, se nourrir sainement, se soigner, se loger, s’éduquer, se cultiver, soient garantis à tous, un monde dont les solidarités actuelles montrent, justement, la possibilité. Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie, nous n’avons qu’elle, et « rien ne vaut la vie » - chanson, encore, d’Alain Souchon. Ni bâillonner durablement nos libertés démocratiques, aujourd’hui restreintes, liberté qui permet à ma lettre – contrairement à celle de Boris Vian, interdite de radio – d’être lue ce matin sur les ondes d’une radio nationale.
Annie Ernaux
grisou- Messages : 370
Date d'inscription : 06/04/2019
Localisation : Clisson 44
Re: Journal d'un confinement
Selon les nouvelles du monde libre, 5% à 8% des élèves ont disparut
SI ils en cherche, je sais ou se trouve 20 des 25 élève de la classe de 5ème de ma fille.
(sur 25 ils ne sont que 5 à se manifester).
Crasse de meule un jours.
Crasse de meule toujours.
SI ils en cherche, je sais ou se trouve 20 des 25 élève de la classe de 5ème de ma fille.
(sur 25 ils ne sont que 5 à se manifester).
Crasse de meule un jours.
Crasse de meule toujours.
LAN33- Messages : 1523
Date d'inscription : 26/02/2016
Localisation : LUDON MEDOC
Re: Journal d'un confinement
Puisque le sujet initial du post c'était le journal du confinement et bien pour moi aujourd'hui, j'ai entamé avec Isabelle de découvrir toute la terrasse et de régler la hauteur de tous les plots car elle s'était affaissée. Nous avons terminé dans la journée la dépose / repose des lames avec le réglage de hauteur.
Beau chantier que j'avais différé depuis longtemps.
Beau chantier que j'avais différé depuis longtemps.
capdefra- Messages : 5188
Date d'inscription : 10/10/2015
Age : 68
Localisation : Hautes-Alpes: GAP
Re: Journal d'un confinement
capdefra a écrit:Puisque le sujet initial du post c'était le journal du confinement et bien pour moi aujourd'hui, j'ai entamé avec Isabelle de découvrir toute la terrasse et de régler la hauteur de tous les plots car elle s'était affaissée. Nous avons terminé dans la journée la dépose / repose des lames avec le réglage de hauteur.
Beau chantier que j'avais différé depuis longtemps.
Tu n'as pas une garantie décennale sur la terrasse?
V
Pec- Messages : 7670
Date d'inscription : 11/10/2015
Age : 70
Localisation : Village Ouest Lyonnais
Re: Journal d'un confinement
Si mais l'entreprise qui a fait la pose, très mal d'ailleurs, s'abrite derrière son haut niveau de professionnalisme pour expliquer que c'est mon terrain qui est de la merde et qu'elle n'a rien à se reprocher. Ils sont déjà venu trois fois faire des petites retouches inutiles au lieu de reconnaître que le boulot initial était mal fait. Et, vu tout ce que j'ai pu constater en découvrant la terrasse, c'était vraiment très mal fait.Pec a écrit:capdefra a écrit:Puisque le sujet initial du post c'était le journal du confinement et bien pour moi aujourd'hui, j'ai entamé avec Isabelle de découvrir toute la terrasse et de régler la hauteur de tous les plots car elle s'était affaissée. Nous avons terminé dans la journée la dépose / repose des lames avec le réglage de hauteur.
Beau chantier que j'avais différé depuis longtemps.
Tu n'as pas une garantie décennale sur la terrasse?
V
Maintenant, c'est bien fait, sans que ça ne me coûte grand chose, juste d'être plus soigneux que le poseur de l'entreprise.
capdefra- Messages : 5188
Date d'inscription : 10/10/2015
Age : 68
Localisation : Hautes-Alpes: GAP
Re: Journal d'un confinement
Comme le fait Capdefra, je suis le sujet initial du post; bien moi aujourd'hui j'ai fait le pintre, non le peintre; mais qu'est-ce que je vais faire aux mois de Mai, Juin? ah oui si on s'en sort faudra que je fignole les RDO
_________________
Ne te hâtes pas de critiquer, hâtes toi de comprendre
Patou24- Talus les copains
- Messages : 2434
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Age : 67
Localisation : 56330 Pluvigner en Bretagne Méridionale
Re: Journal d'un confinement
T'aurai pas plutôt pris une pinte
olivier81- Messages : 1999
Date d'inscription : 10/10/2015
Age : 62
Localisation : Tarn
Re: Journal d'un confinement
Pascalito a écrit:Bonjour les plus ou moins jeunes,
avant d'attaquer de front ma journée devant mon écran un peu de lecture, un courrier ouï hier matin sur France Inter:
Cergy, le 30 mars 2020
Monsieur le Président,
« Je vous fais une lettre/ Que vous lirez peut-être/ Si vous avez le temps ». À vous qui êtes féru de littérature, cette entrée en matière évoque sans doute quelque chose. C’est le début de la chanson de Boris Vian Le déserteur, écrite en 1954, entre la guerre d’Indochine et celle d’Algérie. Aujourd’hui, quoique vous le proclamiez, nous ne sommes pas en guerre, l’ennemi ici n’est pas humain, pas notre semblable, il n’a ni pensée ni volonté de nuire, ignore les frontières et les différences sociales, se reproduit à l’aveugle en sautant d’un individu à un autre. Les armes, puisque vous tenez à ce lexique guerrier, ce sont les lits d’hôpital, les respirateurs, les masques et les tests, c’est le nombre de médecins, de scientifiques, de soignants. Or, depuis que vous dirigez la France, vous êtes resté sourd aux cris d’alarme du monde de la santé et ce qu’on pouvait lire sur la banderole d’une manif en novembre dernier -L’état compte ses sous, on comptera les morts - résonne tragiquement aujourd’hui. Mais vous avez préféré écouter ceux qui prônent le désengagement de l’Etat, préconisant l’optimisation des ressources, la régulation des flux, tout ce jargon technocratique dépourvu de chair qui noie le poisson de la réalité. Mais regardez, ce sont les services publics qui, en ce moment, assurent majoritairement le fonctionnement du pays : les hôpitaux, l’Education nationale et ses milliers de professeurs, d’instituteurs si mal payés, EDF, la Poste, le métro et la SNCF. Et ceux dont, naguère, vous avez dit qu’ils n’étaient rien, sont maintenant tout, eux qui continuent de vider les poubelles, de taper les produits aux caisses, de livrer des pizzas, de garantir cette vie aussi indispensable que l’intellectuelle, la vie matérielle.
Choix étrange que le mot « résilience », signifiant reconstruction après un traumatisme. Nous n’en sommes pas là. Prenez garde, Monsieur le Président, aux effets de ce temps de confinement, de bouleversement du cours des choses. C’est un temps propice aux remises en cause. Un temps pour désirer un nouveau monde. Pas le vôtre ! Pas celui où les décideurs et financiers reprennent déjà sans pudeur l’antienne du « travailler plus », jusqu’à 60 heures par semaine. Nous sommes nombreux à ne plus vouloir d’un monde dont l’épidémie révèle les inégalités criantes, Nombreux à vouloir au contraire un monde où les besoins essentiels, se nourrir sainement, se soigner, se loger, s’éduquer, se cultiver, soient garantis à tous, un monde dont les solidarités actuelles montrent, justement, la possibilité. Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie, nous n’avons qu’elle, et « rien ne vaut la vie » - chanson, encore, d’Alain Souchon. Ni bâillonner durablement nos libertés démocratiques, aujourd’hui restreintes, liberté qui permet à ma lettre – contrairement à celle de Boris Vian, interdite de radio – d’être lue ce matin sur les ondes d’une radio nationale.
Annie Ernaux
entendu en direct ,
mais merci du partage ici
Re: Journal d'un confinement
Tiens en parlant de l'utilité de taper les gamelles à 20h00
1° Coup de téléphone de l'ARS à Pepette (ex Infirmière réa) ce matin 8h30, on a besoin de vous soit sur Paris ou Mulhouse pour ce vendredi !
- OK
2° Coup de téléphone de l'ARS à Pepette ce matin 10h00, Euh non c'est pour jeudi ! on revient vers pour dire ou vous devez aller!
- Bon OK
3° Coup de téléphone de l'ARS à Pepette 16h30, vous pouvez être à l'aéroport de Marignane ce soir à 21h00 ? il y a un avion qui décolle pour Paris ! on vous envoie un taxi!
- Ah d'accord bah OK
Vas y ma chérie ! pète lui la gueule à cette saloperie de virus di merde
Ce soir je vais bien la faire sonner la gamelle
1° Coup de téléphone de l'ARS à Pepette (ex Infirmière réa) ce matin 8h30, on a besoin de vous soit sur Paris ou Mulhouse pour ce vendredi !
- OK
2° Coup de téléphone de l'ARS à Pepette ce matin 10h00, Euh non c'est pour jeudi ! on revient vers pour dire ou vous devez aller!
- Bon OK
3° Coup de téléphone de l'ARS à Pepette 16h30, vous pouvez être à l'aéroport de Marignane ce soir à 21h00 ? il y a un avion qui décolle pour Paris ! on vous envoie un taxi!
- Ah d'accord bah OK
Vas y ma chérie ! pète lui la gueule à cette saloperie de virus di merde
Ce soir je vais bien la faire sonner la gamelle
rouquin- Messages : 3261
Date d'inscription : 11/10/2015
Age : 57
Localisation : La Cadière d'Azur
Re: Journal d'un confinement
Total respect pour toutes ces personnes soignantes......rouquin a écrit:Tiens en parlant de l'utilité de taper les gamelles à 20h00
1° Coup de téléphone de l'ARS à Pepette (ex Infirmière réa) ce matin 8h30, on a besoin de vous soit sur Paris ou Mulhouse pour ce vendredi !
- OK
2° Coup de téléphone de l'ARS à Pepette ce matin 10h00, Euh non c'est pour jeudi ! on revient vers pour dire ou vous devez aller!
- Bon OK
3° Coup de téléphone de l'ARS à Pepette 16h30, vous pouvez être à l'aéroport de Marignane ce soir à 21h00 ? il y a un avion qui décolle pour Paris ! on vous envoie un taxi!
- Ah d'accord bah OK
Vas y ma chérie ! pète lui la gueule à cette saloperie de virus di merde
Ce soir je vais bien la faire sonner la gamelle
et à Pepette
alain
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Amitiés et Grand Soleil à Tous
ps:Les fôtes de moufles sont volontaires
Et j'aime pô Face de Bouc.....
alain resseguier- Messages : 10205
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Re: Journal d'un confinement
Tu lui feras des gros bisous avant qu'elle parte.
Mille mercis Cathy !
Mille mercis Cathy !
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Lumix (R & Z)
Moi quand on m'en fait trop, j'correctionne plus ! J'dynamite... j'disperse... ...j'ventile !
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Lumix- L'oeil et la plume
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Localisation : Sannois (95) - Assimilé parigot quoi !
Re: Journal d'un confinement
Vas y Pepette, pète lui sa gueule
Vincent- Messages : 3104
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Re: Journal d'un confinement
Jean-Claude ! donne zy des sucres a Pepette elle va désinfecter a Paris merci Cathy
gege28- Messages : 1332
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Re: Journal d'un confinement
Allez Pepette et comme on dite à l'OM ... Cornavirus...Enculéééééééééééééééé...
PS. Gégé pour les sucres je suis aussi en rupture de stock , mois aussi j'avais pas anticipé la demande
PS. Gégé pour les sucres je suis aussi en rupture de stock , mois aussi j'avais pas anticipé la demande
JCM- Messages : 2567
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Re: Journal d'un confinement
Allez Pépette!, allez Pépette! allez...
Une autre petite histoire de soignants, pour contrer la sinistrose:
On a tous entendu parler de ces petits mots collés sur des portes de personnels soignants, leur demandant de déménager par peur d'être contaminé dans l'immeuble. Je ne crois pas qu'il y en ait vraiment eu tant que ça, mais bon, on a vu des photos...
Cet après-midi, ma fille infirmière et son mari urgentiste nous envoient une photo d'une assiette de superbes madeleines cuisinées maison, accompagnées d'un petit mot adorable, le tout trouvé devant leur porte, et venant d'une voisine discrète qui les remercient et leurs souhaitent courage et coup de main en cas de besoin.
Tout à fait réconfortant, inattendu et d'autant plus apprécié
V
Une autre petite histoire de soignants, pour contrer la sinistrose:
On a tous entendu parler de ces petits mots collés sur des portes de personnels soignants, leur demandant de déménager par peur d'être contaminé dans l'immeuble. Je ne crois pas qu'il y en ait vraiment eu tant que ça, mais bon, on a vu des photos...
Cet après-midi, ma fille infirmière et son mari urgentiste nous envoient une photo d'une assiette de superbes madeleines cuisinées maison, accompagnées d'un petit mot adorable, le tout trouvé devant leur porte, et venant d'une voisine discrète qui les remercient et leurs souhaitent courage et coup de main en cas de besoin.
Tout à fait réconfortant, inattendu et d'autant plus apprécié
V
Pec- Messages : 7670
Date d'inscription : 11/10/2015
Age : 70
Localisation : Village Ouest Lyonnais
Re: Journal d'un confinement
C'est fou cette histoire !rouquin a écrit:Tiens en parlant de l'utilité de taper les gamelles à 20h00
1° Coup de téléphone de l'ARS à Pepette (ex Infirmière réa) ce matin 8h30, on a besoin de vous soit sur Paris ou Mulhouse pour ce vendredi !
- OK
2° Coup de téléphone de l'ARS à Pepette ce matin 10h00, Euh non c'est pour jeudi ! on revient vers pour dire ou vous devez aller!
- Bon OK
3° Coup de téléphone de l'ARS à Pepette 16h30, vous pouvez être à l'aéroport de Marignane ce soir à 21h00 ? il y a un avion qui décolle pour Paris ! on vous envoie un taxi!
- Ah d'accord bah OK
Vas y ma chérie ! pète lui la gueule à cette saloperie de virus di merde
Ce soir je vais bien la faire sonner la gamelle
Merci Pepette , j'apprécie avec ma fille l'effort que tu fais,elle est aide soignante en réa cardiaque, cette semaine ils ont ouverts des box supplémentaires pour accueillir des covid en provenance du service "Maladies infectieuses", le weekend s'annonce tendu.
Gros bisous Philippe be cool !
Bill Carbu- Messages : 9415
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Age : 68
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Re: Journal d'un confinement
pleins de gros bisous Pepette, grace a toi Covid19 va se barrer.
Denis- Messages : 3556
Date d'inscription : 10/10/2015
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Re: Journal d'un confinement
Chapeau Pepette, marave les tous là haut
Tintin- Messages : 4009
Date d'inscription : 11/10/2015
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Localisation : Cularo ou Gratianopolis
Re: Journal d'un confinement
Trop forte Pepette
Benjamin- Messages : 2829
Date d'inscription : 10/10/2015
Age : 53
Localisation : IdF
Re: Journal d'un confinement
Courage Pépette et merci pour ce que tu fais.
Je trouve ça fabuleux, courageux et noble.
Merci
Je trouve ça fabuleux, courageux et noble.
Merci
Pierrot 67310 GSA HP- Messages : 781
Date d'inscription : 31/10/2019
Age : 65
Localisation : Est
Re: Journal d'un confinement
Et bé ...
C'est pas un métier, c'est un sacerdoce !
Chapeau Pépette et bon courage.
Tu vas le pourrir ce virus de merde !
C'est quoi ça ?
Ce sont les mêmes qui écrivaient à la Kommandantür il y a 70 ans ?
Signé Werner, truffe qui voit le meilleur comme le pire
C'est pas un métier, c'est un sacerdoce !
Chapeau Pépette et bon courage.
Tu vas le pourrir ce virus de merde !
Sans déc' ?Pec a écrit:Allez Pépette!, allez Pépette! allez...
On a tous entendu parler de ces petits mots collés sur des portes de personnels soignants, leur demandant de déménager par peur d'être contaminé dans l'immeuble
C'est quoi ça ?
Ce sont les mêmes qui écrivaient à la Kommandantür il y a 70 ans ?
Signé Werner, truffe qui voit le meilleur comme le pire
Wernerounet- Tuber Motardosporum
- Messages : 2647
Date d'inscription : 11/06/2017
Age : 61
Localisation : Tangi & Laverdure Base
Re: Journal d'un confinement
On est avec toi et avec tous ceux qui se démène dans cette situation compliquée et qui assure quand même le fonctionnement du pays.
Andre Tissot- Messages : 1488
Date d'inscription : 15/06/2016
Age : 69
Localisation : Genas (69)
Re: Journal d'un confinement
Bravo à Pepette et à tout le personnel soignant !
yansandan- Messages : 6305
Date d'inscription : 11/10/2015
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Localisation : Lyon
Re: Journal d'un confinement
Wernerounet a écrit:Et bé ...
C'est pas un métier, c'est un sacerdoce !
Chapeau Pépette et bon courage.
Tu vas le pourrir ce virus de merde !Sans déc' ?Pec a écrit:Allez Pépette!, allez Pépette! allez...
On a tous entendu parler de ces petits mots collés sur des portes de personnels soignants, leur demandant de déménager par peur d'être contaminé dans l'immeuble
C'est quoi ça ?
Ce sont les mêmes qui écrivaient à la Kommandantür il y a 70 ans ?
Signé Werner, truffe qui voit le meilleur comme le pire
Probablement les mêmes qui allaient faire des plein caddies de PQ et de pâtes au début...
Si Pépette peut leur casser la gueule en même temps, heu, ça sera plutôt Rouquin pour ça
V
Pec- Messages : 7670
Date d'inscription : 11/10/2015
Age : 70
Localisation : Village Ouest Lyonnais
Re: Journal d'un confinement
Wernerounet a écrit:Et bé ...
C'est pas un métier, c'est un sacerdoce !
Chapeau Pépette et bon courage.
Tu vas le pourrir ce virus de merde !Sans déc' ?Pec a écrit:Allez Pépette!, allez Pépette! allez...
On a tous entendu parler de ces petits mots collés sur des portes de personnels soignants, leur demandant de déménager par peur d'être contaminé dans l'immeuble
C'est quoi ça ?
Ce sont les mêmes qui écrivaient à la Kommandantür il y a 70 ans ?
Signé Werner, truffe qui voit le meilleur comme le pire
Pour info Werner, la guerre en 1950 c'était fini , profite du confinagement pour revoir les mathématiques .
prg83- Messages : 2342
Date d'inscription : 11/10/2015
Age : 73
Localisation : Dans le plusss bô des villages -- Bormes les Mimosas --
Re: Journal d'un confinement
Alors là, si on envoie super Pépette à la capitale, y a un cornarovirus qui va déguster.
Par contre j’espère que la Pépette n’aura pas des supporters du PSG à soigner, les Pôvres....
Bises et soit prudente.
Par contre j’espère que la Pépette n’aura pas des supporters du PSG à soigner, les Pôvres....
Bises et soit prudente.
labecanajules- Modo
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Date d'inscription : 09/10/2015
Age : 74
Localisation : Côte d'Or
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