Le compte-rendu auquel vous avez failli échapper !

   Donc, vous voudrez bien excuser mon retard, mais cette année, j'ai décidé, moi aussi, de me mettre au compte-rendu !
C'est désormais tendance, et moi les tendances je n'y résiste pas... pour peu que je les remarque.


Y'aura pas de photos, j'en ai pas, ça émousse la concentration du lecteur et bride son imagination pour peu qu'il en ait !


J'ai donc sorti «  Chat GPT » du placard ou il croupissait depuis ma dernière supplique au percepteur. Il m'a donc pondu ceci après quelques instructions concises. Aussi, comprendrez-vous aisément que je ne saurais être tenu pour (entièrement) responsable de ce qui suit ! :




   Le vendredi, midi pétante je m'arrache à ma casbah, la mousmé est déjà levée, elle m'apporte des dattes bien mûres : - Tu reviens quand ?
Dans ma grande mansuétude je lui en rend une, la meilleure : Lundi 1er Avril !
Il ne pleut pas encore, mais vu que j'y étais, je sais qu'il pleuvra, et pas mal jusqu'à Saint-Brieuc où je dois rejoindre François pour que nous finissions la route ensemble.
On commence par de la quatre voies, mais comme la flotte semble vouloir passer son week-end en Bretagne de l'Ouest on sort à Dinan, et j'attaque mon itinéraire bis. De ceux, sur lesquels, seules les vaches regardent passer les RT pour voir si elles ont bien chié sur la trajectoire. Sont taquines les vaches, mais pas si vaches.
Nous nous arrêtons à Combourg nous enfiler un petit noir ( pas de mauvais esprit, j'en ai suffisamment comme ça). Du haut de son donjon, François-René nous fait signe de foutre la poignée dans le coin. Allez hop, faut qu'on bourre !
Nous jardinons un peu à Fougères, enfin je jardine, François, lui, suit mon sillon : Travaillez, prenez de la peine.... Bon , je m'égare là, je jardine, je sais !
Ce sera la seule incartade à cette trace rigoureuse qui nous fait visiter de bien charmants hameaux : Saint-Ellier-du-Maine, La tannière, La barbotière ; avant que la Triumph, assoiffée comme seule elle peut l'être, ne nous arrête à Gorron pour nous faire la « Total » !


   Enfin, Ambrières-les-vallées et le parc de vaux où nous attend Pascal(Têtedanslevent) avec le plan, la clé et le tour de cou, tout ça dans l'ordre.
Entre les bécanes et le chalet , il n'y a pas loin à aller, rejoindre la salle des agapes sera une autre affaire. Rentrer se pieuter, et on m'a collé dans la mezzanine, sûrement parce que je suis le seul à
avoir un physique à emprunter l'escalier. Je disais donc, qu'aller se coucher devrait s'apparenter à un e certaine balade d'un vendredi saint ensoleillé.


   Mon lit fait au carré comme à la grande période de ma gloire militaire ou mon sens du détail, allié à ma rigueur d'équerre m'avaient permis de m'élever au stade d'instructeur pour dormeurs anarchiques, Je rejoins, guidé par un sens de l'orientation que m'envient Garmin et autres Tomtom, le poste de contrôle. Et là, certainement ému par la profonde déshydratation qui se dégageait de ma personne, risquant par contagion d'assécher la Mayenne. Stéphane (Steluvic) me proposa gentiment de m'ouvrir la porte de ce qui serait le saint des saints pour les deux jours à venir.
Je fus donc, hors staff bien entendu, le premier à franchir la porte de cette pièce où, tapie comme un fauve, me guettait la pompe à bière.... !


Passée « la première gorgée de bière » tout semble brusquement s'accélérer, et le premier souvenir qui me revient c'est le dimanche midi après le dessert. Je dis ça parce que je buvais mon café, et c'est ce que me dictait ma logique sans faille, qui finalement, s'est avérée ne l'être guère.....
Je devisais donc avec Dominique (Skude)mon voisin de table, qui, comme les autres semblait ne s'être rendu compte de rien. Ouf !


   Après le café, il a plu, et évidemment je n'avais pas mis ma combine, car tant qu'il ne pleut pas ça ne sert à rien, mais pendant, oui. Je l'ai vérifié maintes et maintes fois !


   Coup de bol on arrive au château de Carrouges dont le parking est en sables mouvants (AOP Mont-saint-Michel), certainement pour dissuader les éventuels assaillants.
Le temps que je me batte avec ma tenue de pluie, je ne verrais rien, mais je n'ai rien perdu, il paraît qu'avec toute cette flotte il était entouré d'eau.


   Une fois la palourde (périphrase approximative, mais parlante) arrachée à la vase, nous repartons vers de nouvelles aventures, et je me joue désormais des éléments avec mon costard de canari irradié !


   Alors, il cesse de pleuvoir et nous pénétrons un vieux bled avec un pont, et pas mal d'eau en-dessous, mais aussi une église romane en état moyen si j'en juge aux échafaudages : Saint-Céneri-le-Gerei.

   Le personnel de l'estaminet où nous nous désaltérons a un accent de Dordogne assez prononcé, et je ne parle pas d'un accent de Bretagne sud. On se croirait vaguement dans le Sussex, bien que nul n'ait tenté d'attenter à ma pudeur.

  Vu que je me suis un peu attardé dans le « locronan « local , mon groupe s'est fait la valise. J'ai encore deux casques et un gant à mettre, je dis donc à Jacky (Labécane) le fermeur, de partir sans moi, je m'incrusterai dans le suivant.


   Autrement rien de neuf, j'essaie d'éviter de trop glisser dans la merde pour arriver fringant au camping.


   Mes camarades de chambrée sont déjà là depuis un moment. Voulant échapper à la pluie,  sont rentrés direct après le dessert, et peut-être même avant si j'en crois ce que l'on m'a dit.
Conclusion : Ils ont pris bien plus cher que nous, vu qu'en coupant ils se sont livrés au plus gros du grain. (cessez les applaudissements, les sourds ont du mal à suivre, et y'en a !)


   Je vous épargne la douche, la bière, l'apéritif, la bouffe, le digestif, rapidement expédiés. Si je veux éviter la pluie, faut que je fasse fissa le lendemain matin, la météo annonce quelques violentes précipitations en Bretagne dès le début de l'après-midi.
Le petit-déj expédié,comme la ligne droite à l'entrée de Beauvoir/mer par une triplette de délinquants un samedi matin, nous rentrons au chalet donner un coup de balai. Manque de bol, il est aussi chauve que Gridoul, avec juste un peu de Lumix sur les côtés, la tâche s'avère ardue, mais réalisable, et la pelle nous remercie de lui accorder son lundi.


   Ne souhaitant pas traîner en chemin on tire droit sur Pontorson !
Nous, nous arrêterons à Dol-de-Bretagne histoire de se dire au-revoir et de s'enfiler un petit noir appaté avec un œuf de Pâques.
François me faussera compagnie à Jugon-les-lacs (commune nouvelle, pour être précis), cette soiffarde de Triumph au seuil du delirium.
Une fois la doublette séparée j'ai sollicité le régulateur pour qu'il régule un peu plus rapidement la cadence. Je sentais la pluie comme une bourgeoise parkinsonienne le N°5....


    J'avais beau la guetter, et elle ne venait point !
    À ma gauche, glissait, le nuage fécond,
    Mais quand il enfanta j'étais déjà fort loin.
    Mieux vaut ne pas prendre, le breton pour un con !


   Enfin bref, j'ai échappé aux grains jusqu' à Pleyben, mais j'étais en terrain connu, j'ai enquillé la première sortie pour me réfugier sous l'auvent d'un drive que je savais être là.
Pleyben, quinze minutes d'arrêt et une saucée mémorable que j'oublierai vite....


  12h30 arrivée à bon port, juste à temps pour la bouffe !


   Merci à tous pour votre amitié et bonne humeur. Rendez-vous aux RDO pour certains, aux « ripailles aéro » pour d'autres. Et pourquoi pas en Ardèche où aura lieu ma « cure » d'Octobre prochain, pour ceux qui suivent.


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Je suis dedans !! Trop cool !!  
Régalade à lire. Tu peux accoucher de la journée et du soir de samedi.

Edit: PS: Un modo sympa pourrait peut être regrouper tous les CR de la Mayenne Flat au même endroit.

Mais c'est le cercle des poètes apparus️
Il faut toujours se méfier des utilitaires blancs !!!

Gridoul a écrit:Je suis dedans !! Trop cool !!  
Régalade à lire. Tu peux accoucher de la journée et du soir de samedi.

Edit: PS: Un modo sympa pourrait peut être regrouper tous les CR au même endroit.

Tu connais le proverbe botswanais : " L'arbre loue l'éléphant qui renonce à ses mémoires !"

Patou24 a écrit:Mais c'est le cercle des poètes apparus️
Il faut toujours se méfier des utilitaires blancs !!!

Le conducteur n'avait pas de casquette

Du Jean dans le texte, ça passe bien à l'écrit 

Comme on dit par chez nous, et sans vulgarité et sans vouloir bléser personnes : "Du Jean tout craché".

Ca va devenir impossible de rouler sans avoir l'oeil sur ses conteurs par ici

flat-win a écrit:

Ca va devenir impossible de rouler sans avoir l'oeil sur ses conteurs par ici

T’as qu’a t’y mettre et conter à ton tour. 
Avec les huiles, on jaugera tes sens et on prendra la température, histoire de voir si l’attraction est sous contrôle. Pas d’angoisse, en cas d’ABSence, nous saurons rester neutres.

Patou24 a écrit:
Il faut toujours se méfier des utilitaires blancs !!!

Manifestement, l’utilitaire est resté blanc, mais la feuille, elle, ne l’est pas restée ! Bravo Jean

Je te savais disposer de cette souplesse légendaire du poignet droit qui sied à quelques motards, mais je ne savais point que que cette même souplesse pouvait servir ta plume !

Tu as les mots, je n’en ai plus…..

'tain tu m'as bien fait sourire Jean . Et heureux que la bagnole ne t'ai pas touché

ben, finalement j' l'aime bien l'Humour du conteur Breton....
mais depuis chez moi j'évites les utilitaires blancs .....et même les autres des fois qu'ils soient de familles avec celui de Bretagne...

alain

Gridoul a écrit:

flat-win a écrit:

Ca va devenir impossible de rouler sans avoir l'oeil sur ses conteurs par ici

T’as qu’a t’y mettre et conter à ton tour. 

J'ai même de la matière, mais pas le temps en ce moment, et mon inspiration rédactionnelle est happée par ailleurs.

Mais tu peux te tourner vers le réchauffe, ICI ou LA

Qu'ajouter à un récit si concis ?
J'en reste coi ! On dit aussi comment, mais dans ce cas c'est inélégant.
Ma foi, cette lecture m'est apparue de bon aloi, juste épicée comme il se doit. 

Content pour toi que la camionnette blanche n'ait pas eu à peindre une victoire supplémentaire sur la portière conducteur. 

4 fois que je lis ...

et pour la toute première fois, j'sais pas quoi dire donc je vais à nouveau  

  Jean !

Content que mes mésaventures vous aient divertis, et je suis également enchanté de ne pouvoir encore répondre à cette obsédante question : " Existe-t'il une connerie après la mort ?"

Inutile de vous dire que "Chat GPT" n'a pas vraiment bien fait son boulot, et que l'IA a un gros retard à combler sur "la connerie naturelle" !

Oulalalalala Jean Flatiron de Gradlon dont les "récits ont un immense succès littéraire au XIX^e siècle. La légende précise aussi comment Gradlon choisit de faire de Quimper sa nouvelle capitale. Lors d’une chasse, il s’égare avec son équipage. Épuisé, il arrive à l’ermitage de saint Corentin qui, miraculeusement, va nourrir toute la troupe en découpant un poisson qui ne cesse de se reconstituer une fois plongé dans la fontaine."

Tes récits comme tes photos sont un lumineux divertissement 

Echoes a écrit:Lors d’une chasse, il s’égare avec son équipage.

Bon sang ne serait trahir, la descendance Jean Flatiron de Landevenec parfois aussi s'égare malgré son magnifique destrier mécanique et sa girouette électronique

Flatiron a écrit:Une fois la doublette séparée j'ai sollicité le régulateur pour qu'il régule un peu plus rapidement la cadence. Je sentais la pluie comme une bourgeoise parkinsonienne le N°5....

Frédéric Dard, sort de ce corps !


Après tous ces commentaires élogieux, je ne vais pas en rajouter, Jean ne pourrait plus enfiler ses bottes de moto. Mais quand même... là, je dis respect.

F2X a écrit:

Flatiron a écrit:Une fois la doublette séparée j'ai sollicité le régulateur pour qu'il régule un peu plus rapidement la cadence. Je sentais la pluie comme une bourgeoise parkinsonienne le N°5....

Frédéric Dard, sort de ce corps !

Bien vu !  Modeste épigone de frédéric Dard, ça me va assez bien. J'ai dévoré une bonne partie de ses bouquins lorsque j'étais un adolescent en constru-destru-ction....

Echoes a écrit:Oulalalalala Jean Flatiron de Gradlon dont les "récits ont un immense succès littéraire au XIX^e siècle. La légende précise aussi comment Gradlon choisit de faire de Quimper sa nouvelle capitale. Lors d’une chasse, il s’égare avec son équipage. Épuisé, il arrive à l’ermitage de saint Corentin qui, miraculeusement, va nourrir toute la troupe en découpant un poisson qui ne cesse de se reconstituer une fois plongé dans la fontaine."

Tes récits comme tes photos sont un lumineux divertissement 

Comme ça, tu sauras te méfier si tu montes sur mon "destrier"! Quand la mer monte trop vite je largue ma passagère
Mais bon,  y'a plus d'un cheval dans ma bourrique, je ne crains pas les marées de 115, mais les sables mouvants, si !

À bientôt au pays du roi Gradlon, ou presque !

Flatiron a écrit:Modeste épigone de frédéric Dard, ça me va assez bien. J'ai dévoré une bonne partie de ses bouquins lorsque j'étais un adolescent en constru-destru-ction....

Dard pour des aventures épiques, ça sonne bien

flat-win a écrit:

Flatiron a écrit:Modeste épigone de frédéric Dard, ça me va assez bien. J'ai dévoré une bonne partie de ses bouquins lorsque j'étais un adolescent en constru-destru-ction....

Dard pour des aventures épiques, ça sonne bien  

Si tu l'aiguillonnes, il va nous piquer un fard  

V

flat-win a écrit:

Flatiron a écrit:Modeste épigone de frédéric Dard, ça me va assez bien. J'ai dévoré une bonne partie de ses bouquins lorsque j'étais un adolescent en constru-destru-ction....

Dard pour des aventures épiques, ça sonne bien  

Pour des aventures épiques, Lucien est un choix plus judicieux. 
Lucien qui ? Bodard bien sûr !

Pec a écrit:
Si tu l'aiguillonnes, il va nous piquer un fard  

On y verra pas plus clair du coup !

'core que pour un breton, ça soit du gâteau

Puisque vous n'avez pas été sages ( surtout certains, j'ai les pseudos) et que vous avez floodé sur ce post particulièrement sérieux qui aborde une problématique importante : Sécurité routière, le problème délicat de l'utilitaire blanc dans nos campagnes reculées. (Chantal tu peux me lâcher la main stp...) vous serez puni par ce fait divers à la limite du supportable.

Pour qu'il glisse sans fart, merci de bien suivre :

À Penmarc'h, au pied du phare, un far pris dans les phares à reçu plusieurs pruneaux.
Les gendarmes débarquèrent en fanfare. Le présumé coupable, un pâtissier retraité  était loin d'être à jeun. Il explique ainsi son geste :
- J'ai avalé la goutte d'Armagnac qui a fait déborder le pruneau, alors j'ai défouraillé.
Madame la Maire interrogée au saut du lit a eu ces quelques mots : Je vous le dis sans fard, ça m'effare !
De source policière le présumé coupable avait eu une enfance malheureuse. Son père quitta rapidement le foyer pour devenir gardien de phare, sa mère qui travaillait chez "Avon" le mis très tôt en apprentissage dans une pâtisserie de spécialités régionales bretonnes.
Le psychologue a parlé d'une tragédie d' homophones mal assimilés.

À l'enterrement du "gâteau" , ils étaient tous là, de la "religieuse" au "Paris-Brest", sans oublier la "forêt noire". Le "russe" parent éloigné d'Ivan Rebroff a entonné, non sans émotion :
" So far away from Ploubalay, so far ago from Landerneau ! "

Voilà qui devrait clore le débat

Flatiron a écrit:Puisque vous n'avez pas été sages ( surtout certains, j'ai les pseudos) et que vous avez floodé sur ce post particulièrement sérieux qui aborde une problématique importante : Sécurité routière, le problème délicat de l'utilitaire blanc dans nos campagnes reculées. (Chantal tu peux me lâcher la main stp...) vous serez puni par ce fait divers à la limite du supportable.

Pour qu'il glisse sans fart, merci de bien suivre :

À Penmarc'h, au pied du phare, un far pris dans les phares à reçu plusieurs pruneaux.
Les gendarmes débarquèrent en fanfare. Le présumé coupable, un pâtissier retraité  était loin d'être à jeun. Il explique ainsi son geste :
- J'ai avalé la goutte d'Armagnac qui a fait déborder le pruneau, alors j'ai défouraillé.
Madame la Maire interrogée au saut du lit a eu ces quelques mots : Je vous le dis sans fard, ça m'effare !
De source policière le présumé coupable avait eu une enfance malheureuse. Son père quitta rapidement le foyer pour devenir gardien de phare, sa mère qui travaillait chez "Avon" le mis très tôt en apprentissage dans une pâtisserie de spécialités régionales bretonnes.
Le psychologue a parlé d'une tragédie d' homophones mal assimilés.

À l'enterrement du "gâteau" , ils étaient tous là, de la "religieuse" au "Paris-Brest", sans oublier la "forêt noire". Le "russe" parent éloigné d'Ivan Rebroff a entonné, non sans émotion :
" So far away from Ploubalay, so far ago from Landerneau ! "

Voilà qui devrait clore le débat

Jean 

alain

Jean, je sais que tu as du mal à maitriser ton compteur, mais là tu es le maitre des conteurs.

Y'a pas, la Bretagne, c'est le far-west

Pourvu que la Bretagne ne devienne pas un fardeau

Flatiron a écrit:Puisque vous n'avez pas été sages ( surtout certains, j'ai les pseudos) et que vous avez floodé sur ce post particulièrement sérieux qui aborde une problématique importante : Sécurité routière, le problème délicat de l'utilitaire blanc dans nos campagnes reculées. (Chantal tu peux me lâcher la main stp...) vous serez puni par ce fait divers à la limite du supportable.

Pour qu'il glisse sans fart, merci de bien suivre :

À Penmarc'h, au pied du phare, un far pris dans les phares à reçu plusieurs pruneaux.
Les gendarmes débarquèrent en fanfare. Le présumé coupable, un pâtissier retraité  était loin d'être à jeun. Il explique ainsi son geste :
- J'ai avalé la goutte d'Armagnac qui a fait déborder le pruneau, alors j'ai défouraillé.
Madame la Maire interrogée au saut du lit a eu ces quelques mots : Je vous le dis sans fard, ça m'effare !
De source policière le présumé coupable avait eu une enfance malheureuse. Son père quitta rapidement le foyer pour devenir gardien de phare, sa mère qui travaillait chez "Avon" le mis très tôt en apprentissage dans une pâtisserie de spécialités régionales bretonnes.
Le psychologue a parlé d'une tragédie d' homophones mal assimilés.

À l'enterrement du "gâteau" , ils étaient tous là, de la "religieuse" au "Paris-Brest", sans oublier la "forêt noire". Le "russe" parent éloigné d'Ivan Rebroff a entonné, non sans émotion :
" So far away from Ploubalay, so far ago from Landerneau ! "

Voilà qui devrait clore le débat

Si tous les bretons deviennent des phares, il va y avoir de l'échouage...

Flatiron a écrit:

Echoes a écrit:Oulalalalala Jean Flatiron de Gradlon dont les "récits ont un immense succès littéraire au XIX^e siècle. La légende précise aussi comment Gradlon choisit de faire de Quimper sa nouvelle capitale. Lors d’une chasse, il s’égare avec son équipage. Épuisé, il arrive à l’ermitage de saint Corentin qui, miraculeusement, va nourrir toute la troupe en découpant un poisson qui ne cesse de se reconstituer une fois plongé dans la fontaine."

Tes récits comme tes photos sont un lumineux divertissement 

Comme ça, tu sauras te méfier si tu montes sur mon "destrier"! Quand la mer monte trop vite je largue ma passagère
Mais bon,  y'a plus d'un cheval dans ma bourrique, je ne crains pas les marées de 115, mais les sables mouvants, si !

À bientôt au pays du roi Gradlon, ou presque !

Yesss je sais que ton destrier peut se défouler de temps en temps mais je saurai m'accrocher.. C'est qu'on ne m'éjecte pas comme ça. Parles-en à Wernerounet, il ne sait plus comment s'y prendre
à très vite fin juin, trop hâte