WEPOKA

WEPOKA
 
D’aucuns d’entre vous le savent déjà, je suis piéton depuis un bon moment maintenant. Ma dernière moto fut un 1400 GSX Suzuki, que j’ai abandonné en 2018, encastrée sous un camion benne, qu’était daltonien du feu rouge (P**ain de camion !), pour devenir scooterroriste jusqu’en juin 2021… Et depuis… plus rien, nada, que d’chi, ouallou, peau de lapin ! (Si l’on excepte, bien sûr, bagnoloSUViste.)


Maintenant que j’ai quitté Paname, Pantruche, Groß Paris et ses turpitudes citadines autant que bouchonneuses, pour m’installer au pays du foie gras, du confit, de l’Armagnac et des mousquetaires, avec ses paysages bucoliques (frénétiques), ses lignes droites landaises entre deux forêts de pins du même nom et ses routes sinuo-rigolo-verdoyantes serpentant au cœur d’un panorama vallonné, on s’est dit, M’ame Dudu et moi, qu’il était grand temps de se trouver une monture pour explorer la région et découvrir ses charmes en bécane, plutôt qu’en char d’assaut à volant.


C’est donc en couple et casques aux bras que nous v’la partis, Princesse Dudu et mézigos, à l’assaut du WEPOKA, bien décidés à s’y dégotter une bécane. Mais kézako que le WEPOKA ? Vous demandez-vous depuis deux paragraphes, bande d’impatients que vous êtes…. (Si, si, je vous connais !) Un nouveau modèle de moto chinoise ? Un machin Duduesque improbable et mal défini ? Queue n’hennit ! (comme aurait dit Bucéphale à c’cornichon d’Alexandre le gland). Il s’agit tout simplement d’un acronyme (si vous ne savez pas ce que c’est, allez tripoter la vieille rousse), désignant : le Week-End Portes Ouvertes du concessos Kawasaki d’Agen.


J’en entends déjà parmi vous se dire : « Ah mird ! C‘t’abruti de Dudu va grimper sur des sauterelles vertes tout un week-end… » En réalité, si ce n’est pas entièrement faux, vous n’avez pas totalement raison non plus. Car il faut savoir qu’à Agen, les mecs qui détiennent la concession Kawa, possèdent également Honda, Triumph, Yamaha, Husqvarna et Can am…. Et que tout le bouzin était ouvert durant trois jours, le dernier Ouik Hinde de Mars. Donc, la mère Dudu et moi, on s’est enfilé des essais moto tout au long du Vendresamedimanche !!! Si avec tout ça, on se fait pas une première idée de ce qui peut nous intéresser, c’est à désespérer des week-ends portes ouvertes (et même porteuse ou verte, en ce qui concerne Kawa ! (que ceux qui l’ont comprise expliquent aux plus lents siouplaît…)).


Donc, pour plus de commodités de lectures, j’va vous faire le compte-rendu du week-end, marque par marque, histoire de pas en paumer en route. Et donc, les plus réveillés d’entre vous l’auront compris, nous allons commencer par la firme d’Akashi (dans la colle), j’ai nommé : Kawasaki !


Bien entendu, nous savons parfaitement, M’ame Dudu et moi, qu’on va nous faire tester des bécanes neuves, dégoulinantes d’options dont on ne pourrait s’offrir qu’un seul étrier de frein…. Sauf que l’idée, c’est d’essayer des modèles dont nous savons avoir le budget pour se les payer en occaz’, z’auront un peu moins d’électronique (ta sœur) et un poil plus de bornes, mais ça permet déjà de se faire une idée solide de ce qui est envisageable et surtout, de ce qui ne l’est pas. Passke croyez moi sur parole, se mettre d’accord avec M’ame Dudu sur le choix d’une moto commune, qui satisfasse chaque partie sans (trop) faire râler l’autre : C’est pas de la tarte aux cerises !!


Moi je veux du solide, du muscle, du moulbif poilu des aisselles, du coup de pied au derche et de la maniabilité, là où Princesse Dudu cherche du confort moelleux pour ses petites fesses de velours, du rangement pour tout son fatras de merdier (plus ou moins utile, souvent moins que plus, d’ailleurs) qu’elle embarque quand on part en balade et pas trop de nervosité pour pas avoir les miquettes ni décoiffer son brushing sous le casque…. Donc l’équation n’est pas des plus faciles à résoudre…. (Le prochain qui crie : « 1250 GS ! » je le sors du texte par la peau des miches, je vous rappelle que là, on est chez Kawa, sacré bondiouze, de saperliscrogneupopette !)


Si certains se souviennent de nos échanges, ici sur le forum, avec Bill Carbu et Werner sur mes doutes concernant le choix d’une future brêle, il leur reviendra en mémoire (et pas tout de suite en pleine poire) que j’étais assez attiré par le r1200RS… C’est donc tout naturellement que je dirige ma moitié (mon tiers serait plus juste au vu de nos silhouettes et poids respectifs, rappelez vous cette scène du  « retour du jeudi » ou Leïa est enchaînée à Jabba the Hutt, pour les plus StarWarziens d’entre vous ou comme si Shrek s’était mis à la colle avec la Fée Clochette, pour les autres.) devant la NINJA 1000 SX, qui représente la sportivo-GT de la gamme vert de pomme.


A y est, à peine devant l’bestiau qu’Mame Dudu lève un sourcil aussi méfiant que dudubitatif et me lance avec un ton de reproche bien marqué :


—      Dis-donc, m’a l’air bien sportive cette machine… Si c’est pour me refaire le coup du 1100 GSXR où j’avais mal partout après 500 mètres, c’est même pas la peine que je grimpe dessus ! C’pas passke la moto est verte que je veux qu’on m’appelle Jeanine, comme les tortues de la même couleur et du même nom ! 
—     Mais non, chérie, ça c’est une Kawasaki, pas une Kowabunga ! Et puis je t’assure qu’elle est très confortable ! M‘empressai-je de rétorquer.
—     Et pourquoi elle à des valoches et pas de top-case ? Qu’est-ce qui va m’empêcher de valdinguer en arrière, si t’accélères comme un bourrin ?


Un employé de la concession, entendant notre échange, s’empresse de venir expliquer à mon quart que sur ce modèle, faut choisir entre valises et top-case, car la législation française n’autorise pas une sportive à recevoir deux valises plus un top case, pour une question de répartition des charges sur la moto. Dudu Coup, M’ame Dudu se met à répliquer qu’elle avait raison, que j’ai voulu l’embrouiller et la faire monter sur une sportive malgré ses réticences, que je suis un gros (censuré) et toute cette sorte de choses…. Commence pas au mieux not’ week-end en amoureux à la recherche de la monture parfaite. ‘Reusment pour Bibi que le Kawasakesque, soucieux de pas perdre un duo de pigeons… Euh… clients d’entrée de match, s’emploie à déployer des trésors d’arguments diplomatiques pour convaincre mon irascible bout de femme de coller ses miches sur la chose sans rouscailler davantage ! Finalement, c’est d’un mouvement volontaire du menton que Mrs Dudu me fait signe de monter en selle. C’est sans discuter que j’obtempère (de fesses) et pose les miennes sur la NINJA Jeanine… Pour madame, c’est une autre paire de manches, comme j’ai pas épousé un clone d’Adriana Karembeu et son mètre 20 de jambes, ma moitié à moi, plus proche des Razmoket, à bien du mal à atteindre les repose-pieds passagers, une fois installée sur la selle moelleuse, à cause justement du volume des valoches…. Même si je ne l’entends pas, je sais qu’elle rougne derrière et que cette bécane sera sûrement pas son premier choix… M’en fous, après tout, on est venus pour tester, alors testons !


Ergonomie : Sympa, même si avec mon mètre 78, j’ai pas les deux pieds complètement à plat au sol depuis les 835 mm de la selle, ça reste tout à fait acceptable quand madame escalade le bouzin pour s’installer. Le tableau de bord TFT m’en colle plein les mirettes, moi qu’ai jamais eu d’électronique d’aucune sorte en moto, je remercie le préposé Kawa pour ses explications, qui m’épargnent de mettre une plombe à régler des tas de machins que je savais même pas qu’on pouvait les régler... Je lui coupe juste la chique quand il commence à me parler de connectivité blu tut et de gérer chépakoi depuis mon smartphone…. Déjà que j’ai jamais rien compris à c’t’engin là, (le smartphone), vais pas m’encombre les deux neurones qui m’reste avec des trucs dont je me servirai jamais. Là, tout ce que je veux c’est faire vroum et gaz ! Ah oui, mais oui, mais oui, mais non ! Me dit Mister Kawa (bunga, dsl pas pu résister^^), faut paramétrer le mode de conduite puisque vous êtes en duo avec les valises mais qu’elles sont vides…. Et v’la qu’en deux temps trois mouvements, y’m’tripote les bitonios des commodos avant de se redresser avec un air satisfait et d’affirmer, comme si M’ame Dudu et moi on allait d’emblée être d’accord avec lui : « Voilà qui est mieux, je suis sûr que vous sentez déjà un meilleur confort ! » Vu qu’on est assis l’un devant l’autre, on ne peut pas se regarder pour échanger une moue incrédule, alors on se contente de hocher bêtement nos casques, histoire qu’il nous laisse enfin partir à l’assaut du bitume.


Bien entendu, vu le monde et les nombreuses concessions participantes, ce week-end d’essai est encadré par la maréchaussée. Un escadron de gendarmes à moto va nous escorter par groupes suivant les types de motos essayées. M’sieur Kawa nous fait signe de nous diriger vers un groupe où deux perdreaux casqués nous font un geste du gant. Punaise, si y en a un avec des bacchantes commak, je sens que ça va pas l’faire… (p’tit clin d’œil à ceusses qu’ont déjà lu mon tout premier essai BM). Heureusement, pas de Moustachero dans le duo de jumeaux. L‘un d’eux prend le lead et l’autre nous fait signe de passer, avant de prendre la queue. L’en profite sûrement pour nous compter, histoire de pas en perdre  en route.


C’est donc un petit troupeau d’une quinzaine de motos de quatre marques différentes qui s’élance à petite vitesse à l’assaut de la zone de Boé. Pour moi, pas question de faire le crétin. Non seulement, j’ai M’ame Dudu en croupe, mais j’a pas fait de deux roues depuis près d’un an. Rapidement, je retrouve bien les sensations, l’atmosphère et le son d’un gros 4 pattes velu des pistons. La poignée de gaz sans câble est bluffante de réaction et de précision. L’embrayage est nickel, d’autant que sur les premiers kilomètres, j’oublie de tester le shifter up and down.


Une fois sortis de l’agglo et du peu de circulation de ce vendredi matin, la voie rapide est enquillée sans à-coups et dans un confort que même M’ame Dudu reconnaîtra, par la suite, surprenant. Malgré tout, nous connaissons de petites vibrouilles dans la selle et les poignées, lors de franches accélérations sur voies d’accès, mais rien de vraiment gênant. D’ailleurs, en parlant de voie d’accès, alors que l’ouvreur est déjà plus loin sur la quatre voies, gyro en tête, je suce la roue d’un minot en speed triple, en accélérant pour m’engager sur le ruban multivoies. Alors qu’on est déjà à près de 150 à l’heure, moi en troisième et lui en Triumph, v’la qu’on se fait déposer comme une paire de bouses par un duo de grands échalas toucuiresques, à la fois juchés et recroquevillés sur un 1400 ZZR, qu’a l’air bien trop gros pour eux deux.


Scrogneugneu, me dis-je, dans le silence ouaté de mon intégral moussé ! Va pas se passer comme ça ! Keski m’a dit, déjà M’sieu Kawa ? Ouskilé le mode sport, sur ce putain de commodo ? Alors que je trifouille rageusement le menu à la poignée, le groin baissé sur l’écran TFT, je me fais marteler l’épaule droite, juste avant de voir apparaître, glissé sous l’aisselle du même côté, un index ganté qui se met à faire le métronome…. M’ame Dudu, qui me connaît bien, pose ainsi immédiatement son véto à toute tentative de poursuite aussi musclée qu’impitoyable du missile grocubesque, transporteur d’escogriffes mal pliés. Après avoir poussé, comme il se doit, un gros soupir de boudage teinté de dépitation, à l’intérieur de mon casque, je me dis qu’elle n’a pas tout à fait tort, M’ame moitié… 4 ans qu’on n’a pas fait de moto ensemble, c’est p’têt pas le meilleur moment pour jouer les Duducrétinkékétistes… En grommelant quand même, pour la forme, je rends les armes et la main pour nous laisser découvrir les plaisirs que peut nous apporter ce ninja au long cours. Une fois n’est pas costume, à l’approche d’un rond point, je me laisse dépasser par deux roadsters en bataille, un MT10 et un CB 1000 R, sans même esquisser la moindre ronchonnade. D’ailleurs, vu le freinage super tardif d’attardés très en retard de la cafetière, qu’ils plantent à l’orée du giratoire, me dis que ces loustics là sont de la génération ABS et qu’il vaut mieux pas traîner dans leurs pneus avec mon peu d’expérience des assistances en tout genre des motos d’maintenant. Sur le coup, j’ai même eu l’idée (si, si, des fois j’en ai !!) de passer en mode « pluie » pour pas être tenté d’ouvrir comme un demeuré à la moindre sollicitation et profiter du moelleux de la selle et du moteur pour emmener M’ame Dudu en souplesse… Bon si je l’ai pas fait, c’est passke j’l’ai pas trouvé… (Oui, bon, ça va, arrêtez de rigoler bêtement, vous aussi, y a eu une première fois où vous vous êtes perdus dans les menus en descendant à la fois de Neandertal et de bécanes avec 0 grammes d’électronique (nique, nique) !)


Une fois la quatre voie délaissée, nous v‘la partis à l’assaut des départementales Lot-et-Garonnesques, aussi charmantes que rurales. Comme disait mon vieux pote Boubouille, le traileux du MC Melun dont je vous ai déjà causé jadis : « C’est toujours dans le sinueux qu’on reconnaît les pires pinces et les meilleures meules ! » Eh ben il avait raison, ce p’tit con ! À peine a-t-on commencé d’enquiller dans le tournico-viroleux que M’ame Dudu, Jeanine et moi devons faire un effort pour éviter d’emplâtrer le trio de roadsters constitué de la Honda, de la Triumph et de la Yam qui se font un concours d’ABS à qui freine le plus fort à la moindre esquisse de virage ou même de vague courbette qui ferait se gondoler de rire mon petit neveu en tricycle…. M’est avis qu’on a affaire à des gamins citadins tout juste sortis du permis A2 ou p’têt même pas encore… Des pros du « on-off » d’un feu rouge à l’autre et encore, seulement en ligne droite. Y freinent beaucoup trop, trop fort et très tard, sont pas foutus d’aligner une trajectoire potable et se traînent comme des limaces d’un bout à l’autre de chaque virage en prenant moins d’angle qu’une grand-mère à vélo. Après avoir évité deux trois  fois de les percuter par derrière (merci la souplesse du 4 pattes) et vu qu’ils prennent toute la largeur de la voie, je tourne la tête vers ma passagère qui me fait signe d’avancer… Elle a raison, on va pas se faire bouchonner par un troupeau de moldus, handicapés de la virolade ! Je profite d’un enchainement de courbettes rapides avec bonne visibilité pour essorer un bon coup la Miss Ride By Wire et dépasser le trio de crétins. Une bonne petite freinouille à l’entrée du virage suivant, une mise sur l’angle impecc, aidé par M’ame Dudu qui connait la musique, un filet de gaz sur l’angle et la Ninja bondit d’un virage à l’autre sans effort en laissant le trio de boutonneux devenir tout petit dans reflet du rétro.


Je dois reconnaître que cette Kawa est bluffante de facilité et permet d’enquiller les parcours, même sélectifs avec un réel sentiment de sécurité. Ca tracte gras en sortie de virage sur l'angle. Pas de soucis avec le décalage du pic de couple, la courbe exploitable n’en est que plus large. D’ailleurs, en évolution serrée, la vigueur du moteur demande de l’attention tant la Ninja 1000 SX réduit l’espace. Ou plus prosaïquement en Dudu dans le texte : « Ça y en a très bonne meule ! » Moi qui n’avais jamais posé mes grosses miches pachydermiques sur une Kawasaki, je dois dire que j’ai été impressionné. M’ame Dudu aussi, m’a-t-elle avoué, une fois l’essai terminé, mais le gros bémol pour elle, sur cette machine, c’est la gêne occasionnée par le volume des valises (et pas du tout la courtitude de ses guiboles, non mais sans blague !) qui rendrait les longs trajets inconfortables.
Cet essai-là étant fini, je m’en va vous écrire le suivant…. D’ici là, V à tous !!!
 
 
[size=31]Fiche technique Kawasaki Ninja 1000 SX[/size]

Sur le papier (données constructeurs)

Moteur	Modèle 2020
Type	4 cylindres en ligne, 4 temps, refroidissement liquide, DOHC, 16 soupapes
Cylindrée	1.043 cm3 (77 x 56 mm)
Puissance	142 ch à 10.000 tours/minute
Couple	111 Nm à 8.000 tours/minute
Allumage	Electronique
Lubrification	Sous pression, carter humide
Alimentation	Injection électronique, Ø 38 mm x 4 avec papillons secondaires ovales
Transmission
Embrayage	Multi disques en bain d’huile, assisté
Boîte de vitesses	6 rapports
Chaîne secondaire	Par chaîne
Partie cycle
Cadre	Double poutre en aluminium
Longueur	2.100 mm
Largeur	825 mm
Empattement	1.440 mm
Garde au sol	135 mm
Hauteur de selle	835 mm
Poids	235 kg en ordre de marche
Suspension avant	Fourche inversée de 41 mm réglable en précharge, compression et détente, débattement 120 mm
Suspension arrière	Amortisseur back-link à gaz réglable en précharge et détente, débattement 144 mm
Angle de chasse	24°
Chasse à la roue	98 mm
Frein avant	Double disques semi-flottants de 300 mm. Deux étriers Tokico radiaux à 4 pistons opposés (et non pas Brembo M50 comme indiqué dans le catalogue Kawasaki 2020)
Frein arrière	Disque de 250 mm, étrier simple piston
Roues	En alliage : 17 pouces
Pneu avant	120/70 ZR17 M/C (58W)
Pneu arrière	190/50 ZR17 M/C (73W)
Contenances
Réservoir	19 litres
Coloris	Gris, vert, blanc
Prix	14.349 euros

J'ai tout lu...!

C'est complet et romancé par moment...
Y a du Ninja, du vert et tout et tout...

Merci de nous avoir fait partagé c'est essai avec ce retour des plus exhaustif...

Du bon Dudu, expressif, détaillé, courtois, etc, etc...
C'est bon de te lire, ça colle la banane direct.
Vivement la suite.

Moi j'm'en lasserai jamais de la prose Duduesque  

C'est quand la suite ? pas dans 6 mois heinnnnnn  

Dis donc.. t'as vu dans le bandeau du haut (c'ti qui défile et l'autre) qu'il y a 2 balades qui se profilent dans un avenir pluzoumoins proche ??

dernier ouikend de juin on se balade en Bretagne
premier ouikend de septembre c'est la Foret Noire et la Moselle

T'emmène M'dame DUDU.. ta belle verte avec ses belles valoches et un gros taupecase et tu viens   avec les   !!

14 000 boules pour 140 canassons, ça laisse de la marge pour le foin
Bon, moi j'aime pas le look GP Replica , ni le vert d'ailleurs , pis les valises, ça va pas faire croire à Môdame Dudu que c'est une voyageuse bien longtemps...

Bon, essai suivant siouplé

Hummmmmm.Dudupur plaisir!

boah...la prose de Dudu....tout ça pour une Kawa....bon je dis pas pour une BMW je comprendrais mais là...on dirait Balzac qui fais des lignes pour crouter.

Si au moins il y avait eu un peu de Hugo  ou de Maupassant ou encore de Zola...quoi que à y regarder de plus prés....on en trouve.....

Tiens au fait, n'y aurait il pas du Audiard matiné de Gotlib avec un soupçon de Goscinny?

Faut que je relise encore une fois ( la 20 ème au moins....)

Ouais , pas mal tout compte fait.....y'a de la Prune? de la Moelle? de la Jambe?...

Bon allez, je me lache: un bon cru cette prose au final...et puis au moins la lire ça m'apprend à voir une moto avec un oeil différent à chaque lecture..

Bon Dudu, finalement je t'aimes bien, tu peux rester et causer autant que moi 

Vivement le prochain essai alors..



alain

cyriak a écrit:14 000 boules pour 140 canassons, ça laisse de la marge pour le foin
Bon, moi j'aime pas le look GP Replica ,  ni le vert d'ailleurs , pis les valises, ça va pas faire croire à Môdame Dudu  que c'est une voyageuse bien longtemps...

Bon, essai suivant siouplé

Y a le orange qu'est pire 

P'tain, que ça fait plaisir de te lire, du bon du bon du très bon Dudu...

C'est quand la suite 

Suite postée pour les z'impatients. 

M'ame Laurence, pour fin juin j'ai peur de pas pouvoir. D'abord, j'ai pas encore de bécane, et puis il me semble qu'on a un évènement familial à cette date là.
Sans compter que la Bretagne..... Paraît que là-bas, il ne pleut que sur les cons, Dudu coup, chaque fois que j'y vais je me fais rincer non-stop !!


Septembre dans le Grand-Est, j'sais pas encore, m'étonnerais que M'ame Dudu soit partante pour 2000 bornes (rien que de trajet).

Cyriak : J'étais comme toi, pas grand fan du look de la Ninja, mais je dois reconnaître que c'est une bien meilleure moto sportivo-gt que je ne l'aurais cru de prime abord. Mais ça ne veut pas dire que je vais en acheter une....

Merci les autres pour vos commentaires. Espérons que la suite vous laisse aussi la banane !